Un dernier petit post avant de partir une semaine fureter dans la big apple (retour vers le 14 juillet) poue célébrer, de nouveau, cet événement mondial de la disparition du King of Pop.
Deux vidéos bien différentes. celle du dessus est une jolie choré de England got talent avec un hindou qui danse comme un dieu (dont je ne connais pas le nim -du dieu-) et une mise en scène classque mais efficace. Un moment de télé, quoi.
Et ci-dessous, l'hommage des archi célèbres 1 500 prisonniers philippins qui ont enregostré cette choré le 27 juin, 10 heures après qu'ils aient appris la nouvelle du décès du chanteur.
On a tout dit, on aura tout dit, sur Michael Jackson : le noir et le blanc, le bon et le mauvais. La fin d'une star mondiale marque la fin d'une époque et referme énigmatiquement sur ele l'air du temps. Plus jamais on ne revivra ça. Pue importe que ce soit lui ou un autre. Il incarnait quelque chose, on ne sait pas trop quoi (on ne sait même pas du tout quoi) et ces deux reflets vidéos en disent plus que des mots, sans doute.