Sous le pont Mirabeau ne coule clairement pas le Gange, et mes amours, faut-il qu'il m'en souvienne, n'ont rien eu jamais des scènes enflammées de pudeur des plus grandes réalisations indiennes.
C'est heureux.
Mais faut pas se cloisonner dans son microcosme - hem... - occidental, et rien ne vaut que d'ouvrir ses chakras littéraires à une histoire tout droit sortie de l'Inde du début du siècle dernier.
Un mari, un poète, une épouse, pas mal de possibilités, mais une seule qui n'est pas explorée : la formation d'un groupe de punk-métal...
Hélas.
Quoi qu'il en advienne, et que la nuit sonne l'heure, si les jours s'en vont et que je demeure, Chârulatâ de Rabindranath Tangore, c'est notre chronique du jour...