Saillant du codex parcheminé des cheminements stériles, les glyphes s’hérissent, entailles aux entrailles rapiécées d’où s’écoule paisiblement la douleur comme une douceur noyée de larmes. L’écriture est exhibitionniste. Elle divulgue, en toute pudeur, la face vulgaire des petites lâchetés galvaudées à la barbe de l’innocence galvanisée. Mieux vaut s’étouffer de chair, enfin se taire.