La mort de Michael Jackson a eu des répercussions dans tous les coins de notre ronde planète (faisant malheureusement passer sous silence la mort de Farrah Fawcett par la même occasion). Will Leitch de Deadspin s’est amusé à lister les gens du monde du sport qui auraient un impact similaire advenant qu’ils croakent. Intéressantes sélections...
Leitch base ses choix sur l’âge de la personne (la mort d’un vieux serait pas surprenante), la place que la personne a prise dans la culture populaire, le réflexe révisionniste qu’auraient les gens suite à la mort de la personne (comme le fait d’oublier que Michael Jackson était une momie), l’effet de choc et les souvenirs précis dans la mémoire collective.
Voici la liste :
- Muhammad Ali (choix évident, bien qu’on s’attende à ce qu’il meurt un m’ment d’né)
- Charles Barkley (qui a une 2e carrière médiatique mouvementée)
- Steve Bartman (ennemi juré de Chicago)
- Larry Bird (rare vedette blanche qui n’est pas QB)
- Magic Johnson (qui est trop riche pour mourir du sida)
- Michael Jordan (le roi du monde pendant les années ’90)
- Pete Rose (qui, en plus de sa grande carrière avec les Expos, s’est aussi fait, en toute dignité, piledrivé par Kane à Wrestlemania alors qu’il était déguisé en San Diego Chicken)
- OJ Simpson (le pas fin)
- Mike Tyson (le fou)
- Vince Young (le work-in-progress pour devenir fou)
Un peu trop de basket à mon goût.
J’aurais quand même mis Barry « * » Bonds là-dedans parce que c’est un méchant, qu’il est aussi le meilleur frappeur de son époque, qu’il a battu les deux records offensifs les plus importants du baseball et qu’il est devenu un monstre à force de se shooter dans l’cul.
J’aurais aussi mis Tom Brady pour sa domination totale de tout ce qui constitue le rêve masculin.
Lance Armstrong, le chef des pédales. Cristiano Ronaldo, le jeune roi du soccer mondial. Alar Voogla, le champion du monde de charriage d’épouse. Toutes des stars controversées dans leur domaine respectif et qui n’auraient pas rapport de mourir.
Et, plus près de nous, Mike Cammalleri, pour sa longue histoire d’amour avec le Canadien et la nation québécoise. Corus en serait émotivement démoli.