Sous les pavés, la plage?

 Cher lecteur,

Un petit message rapide pour t’informer que Les Innommables s’arrêtent à partir du 5 juillet, pour une durée de trois semaines.

Contrairement à l’administration française, qui aime te prendre pour un con et te faire croire (par exemple) que le Pôle Emploi (version bling-bling mais parfaitement inefficace de l’ANPE) se met en quatre pour t’apporter le meilleur service possible (si tu as la chance, rare au demeurant, de tomber sur un conseiller au bout de quarante minutes), contrairement aussi aux Taxis Bleus et aux G7 (qui depuis des décennies se livrent une compétition acharnée afin de déterminer QUi est l’heureux dispensateur du service téléphonique le plus cher ayant le délai d’attente le plus long), contrairement disais-je (on s’y perd, avec toutes ces digressions) à tous les fumistes se prétendant à ton service pour mieux te laisser poireauter et te dépouiller des quelques euros que les ventripotents banquiers auraient éventuellement laissé par mégarde au fond de tes poches, je n’irai pas, moi, par quatre chemins:

Je pars en vacances, j’en suis fort aise, et j’ai l’intention d’oublier ce blog jusqu’à mon retour.

Par conséquent, la concierge ne sera pas dans l’escalier, il n’y aura pas d’abonné au numéro que vous aurez demandé, et les commentaires seront provisoirement fermés (ceci afin d’éviter de nourrir les trolls, comme tu le sais).

Je ne résiste pas au plaisir d’illustrer ce dernier billet par une petite intervention vocale centrée, fort justement, sur la thématique des vacances.

Je te bisouille, te gratouille, te papouille (lançons un grand concours, à qui trouvera les meilleurs termes se terminant par "ouille", je sens que ce blog va déborder de mots-clés extrêmement populaires d’ici peu), et te dis à la revoyure, camarade.