"Pour eux, je n'avais pas les codes, pas le vernis, pas les réseaux, je n'existais pas", a-t-il déclaré. Le ministre des Affaires étrangères "Bernard Kouchner, par exemple, ne m'a jamais dit bonjour, jamais adressé la parole. Pour lui, j'étais transparent".
Il revient aussi dans l'interview sur le démenti qu'il avait dû opposer en octobre 2008 aux rumeurs selon lesquelles il aurait pu être le père de l'enfant qu'attendait alors la ministre de la Justice Rachida Dati. "Je ne suis pas le père de l'enfant de Rachida", avait-il alors déclaré.
"Des bruits couraient. Qu'elle faisait mine d'ignorer. Je me demande même si elle n'en était pas à l'origine. Je lui ai dit que ça ne pouvait pas durer. C'était