C’est à dire ce qui se voit, se perçoit, se comprend à demi-mot ou à renfort de beau slogan. La couleur du vin ou celle de son étiquette, la forme d’une bouteille, le packaging du Bib, la marque, le nom de la cuvée, le bouchon ou la capsule, le carton, l’emballage, le placement, le prix, enfin bref tout se qui distingue le vin avant que de le déguster.
Soyez-en persuadé !
Ca ne veut pas dire qu’il faut faire n’importe quoi, comme une étiquette fluo vert-pomme pour casser les codes du vin. Ca ne veut pas dire que le marketing veut la mort de l’authenticité, du terroir et de la culture du vin de nos régions. Nous avons bien au contraire, la chance, comme l’Italie et l’Espagne, d’avoir été les premiers sur ce marché mondial du vin. Nous avons donc la priorité de fait. Nous avons aussi une diversité de produits qui ne se retrouve nulle part ailleurs et sur aucun autre secteur.
Il y a de la place pour tous ces différents vins que nous savons produire en France, il y a donc un marketing à adapter pour chacun et beaucoup d’entre vous le savent déjà.
Regardez-bien le site d’African Terroir, vous y verrez que le marketing travaille sur des valeurs de “Terroir“, de produit “Naturel“, de commerce équitable. Ils associent le vin et le tourisme pour communiquer sur des images connues à travers le monde : cette girafe par exemple, les bigs fives, Cape Town, etc…
Voilà c’est ça le marketing ! Mettre en valeur ce vin, lui donner une identité, nous rappeler qu’il existe un terroir, des cépages et une histoire du vin en Afrique du Sud.
Quand j’ai pris cette photo sur le stand de African Terroir à Vinexpo, je me suis rappelé de cette histoire que mon fils m’a racontée juste avant de partir pour le salon : “Tu sais pourquoi les girafes ont un long cou ? ….non…hé bé parce qu’elles puent des pieds !“
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