Découvrir qu'on s'est fait voler ses chaussures, déposées pourtant juste là, qu'on devient poisseux, crasseux, qu'on habite des logements pour sans-abri, parce que justement, en guise d'abri, on n'a plus que la rue...
Et dire que quelques semaines avant, Philippe vivait encore avec sa femme et leur fille. Et que peut-être, il pouvait encore sauver son mariage. Cela semble compliqué cependant, elle a pas l'air commode, la mégère...
Un hiver avec Baudelaire, d'Harold Cobert, c'est notre chronique du jour.