C’est ce beau paradoxe qu’explique l’écrivain Conrad dont je suis en train de lire le majestueux Au cœur des Ténèbres.
En effet, pour un marin, pas d’autre « terre » que le plancher du bateau et cette maison flottante qui lui fait aimer ses pantoufles et qui le laisse parcourir un territoire toujours recommencé : la mer !
A moins que le marin ne concilie en même temps le goût de la terre et qu’il laisse son bateau accroché derrière lui !