Le questionnement n´est pas anodin. Il consiste ni plus ni moins à savoir si le débat n´est pas en soi une acceptation d´un principe qui , le moins qu´on puisse
dire, est qu´il porte atteinte aux principes de laicité des Républiques.
Peut on considérer qu´il est des zones interdites à tout dialogue en démocratie ?
Peut-on analyser ce refus comme une crainte ? Ou plus profondément faut-il l´entendre comme une opposition fondamentale de discutter à quelque niveau que ce soit avec les tenants d´un
Islam radical ?
Le Président de la République souhaitait-il faire preuve d´ouverture ou s´illusionne t-il sur les vertus d´un dialogue pour convaincre les musulmans ?
Qu en pensez-vous?
Voici, ce qui a suscité ce questionnement :
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Rachel