Les consommateurs sont en attente de conversations avec les marques.
C'est la deuxième vague de l'Observatoire des marques (CSA et W&Cie) en conversation qui le dit.
Et qui dit conversation dit place pour beaucoup de choses, dont des histoires.
4 variables ont été étudiées :
la posture, la personnalité, l'expression et l'ouverture de la marque.
La quasi-totalité sont des attributs similaires à ceux d'une personne réelle, renforçant donc ce lien avec les histoires et le storytelling.
En tête des secteurs qui sont les plus conversationnels :
la distribution avec l'alimentaire (E. Leclerc, le Groupe U, Auchan et Carrefour) suivie des spécialistes que sont la
Fnac et Décathlon.
Les entreprises et structures publiques comme la Poste, la SNCF, l'Assurance maladie, la beauté avec Yves Rocher et l'informatique sont également des adeptes de la communication sur le mode conversationnel.
Bonnet d'âne, par contre, pour les secteurs de l'énergie, de l'emploi, du tourisme, des télécommunications, la banque et la finance et le BtoB.
Un peu de storytelling devrait pouvoir booster leurs performances pour la prochaine vague de l'étude.
Au final, rien de révolutionnaire dans ces résultats, mais cela fait parfois du bien de voir des chiffres confirmer les histoires que l'on se raconte.
Du rationnel et de l'émotionnel, cela peut bien fonctionner ensemble.
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