Du pouvoir prescripteur du net...
Le rôle prescripteur du net n'est donc plus à démontrer, à compter du moment où l'on propose une analyse et une chronique des livres, et non un simple appareillage promotionnel. Alors qu'est-ce que le réseau social peut apporter ? Tout d'abord de la visibilité, en fonction des personnes qui suivent celui qui publie ses commentaires. C'est la même chose avec un site internet ou la presse papier ; sauf que cette dernière est en perte de vitesse.
Trouver le point d'inflexion : une piste au trésor
La problématique pour un éditeur attentif est de savoir comment quantifier les ouvrages vendus par le biais de ces nouveaux outils et de comprendre les fonctionnements du buzz. En fait, on perçoit qu'en filigrane, on se demande comment se servir de Twitter comme un outil d'influence. Les campagnes de promotion occasionnées favorisent évidemment le développement d'une curiosité et l'intérêt des lecteurs. Et plusieurs exemples tirés des mois passés montrent que le la corrélation entre ventes et annonces faites est forte.
Comme toujours, c'est à la recherche du point d'inflexion que l'éditeur va partir : cet instant où l'on passe d'un intérêt modeste, voire négligeable, à celui où les consommateurs captivés souhaitent acheter par milliers le livre en question. Plusieurs pistes de réflexion, autant que des témoignages sont présents sur Follow The Reader. À découvrir attentivement...