La semaine s’est terminé avec une grande excitation. Les appels téléphoniques se sont succédés, éternisés. Les courriels sont tellement nombreux qu’on ne les compte même plus. Les mots sont doux, invitants, rayonnants. Je ressens quelque chose de vraiment spécial, cette chose qui vous donne chaud et froids en même temps, cette chose qui vous brûle dans l’estomac et papillonne à en avoir de la difficulté à manger.Les envoies de photos se sont multipliés… Je lui envoie les miennes.. je prends soins d’en envoyer dans plusieurs situation.. peigné, dépeigné bref, je veux pas passer pour un “ menteur ”.
Le souper au resto… ANNULÉ.. elle avait quelque chose de prévu qu’elle n’a plus repousser… elle me promet de me téléphoner en revenant le dimanche… “ J’ai hâte de te parler ” que j’entends sur le message.
Vraiment la fin de semaine fût longue… pénible… dimanche j’attendais son appel avec impatience et soudainement, message sur mon cellulaire… C’était elle, une courte mais belle conversation, nous acceptons de nous voir rapidement, ces enfants revenaient de leur fin de semaine paternel, pour prendre une bouchée près de chez elle.
J’arrive au bistro et, OUF!, elle est TELLEMENT BELLE… pas jolie ou cute là… BELLE… elle me coupe les jambes littéralement. Je suis scié en deux.. (ajoutez toutes les métaphores que vous voulez… je les vivais!). Nous avons une petit repas rapide… conversation timide.. (première rencontre) bref… rien pour jeter par terre, mais rien de catastrophique.. nous acceptons de nous réécrire pour trouver un nouveau rendez-vous (nous avons nos enfants toute la semaine).
Le lendemain je lui laisse un message vocale… niet
Je lui envoie un courriel… re-niet!
Entre en jeu le questionnement… “ Qu’est-ce que j’ai dis, fais ?” je savais d’avance que sont début de semaine était débordé, que mardi elle avait une conférence…
Mes illusions sont bien terminées?
Ou m’en fais-je pour rien?
Je relance à la fin de la semaine… je dois au moins savoir vous trouvez pas?
À suivre…