Pour les tenants du boycott de l’Etat hébreu, la liste s’allonge désormais de jour en jour .Après l’annonce, il y’a une semaine , de la partenariat entre le constructeur aéronautique européen Airbus et le constructeur aéronautique israélien Israël Aerospace Industries (IAI) et l’annonce des préparatifs de l’achat d’une partie du capital de l'enseigne de la grande distribution Carrefour par un groupe industriel israélien, aujourd’hui les anti-israéliens vont se réveiller sur la commercialisation imminente des Renault made in Israël. ( bientot les Renault boycotés???).
Dans un entretien au Figaro Magazine, publié ce samedi 27 juin 2009, le PDG de Renault-Nissan Carlos Ghosn a annoncé qu’en 2011 le premier modèle de la voiture électrique; issue de l’Alliance Renault-Nissan sera commercialisé en Israël. Selon Carlos Ghosn, les véhicules électriques pourraient représenter 10% du marché mondial à l’horizon 2020.
Cette annonce intervient après que le groupe Renault Nissan, le 5e producteur mondial a signé à Jérusalem un premier accord sous pour fabriquer en Israël les premières voitures électriques qui circuleront dans le monde et dont les batteries se changeraient comme des piles
L’accord signé le 21 janvier 2008 à Jérusalem entre Renault et la société Project Better Place en vue de produire et commercialiser à grande échelle une voiture électrique a constitué une manifestation spectaculaire de l’amélioration et l’approfondissement des relations entre la France et Israël.
200 millions de dollars étaient alloués autour de ce projet, à travers la compagnie de capital-risque Project Better Place. Parmi les investisseurs, il y’a entre autres : l’ancien patron de la Banque Mondiale James Wolfensohn, la banque Morgan Stanley, le magnat canadien des spiritueux Edgar Bronfman Senior, le holding Israël Corp, qui à lui seul à déposé 100 millions de dollars dans la corbeille.
L’Alliance Renault-Nissan a investi, quand à elle, un milliard d’euros pour son projet de véhicules électriques, made in Israël. Le premier modèle sera commercialisé en Israël en 2011…il s’agit selon le Figaro Magazine l’un des rares projets qui n’a pas été retardé et dont l’investissement n’a pas été réduit à cause de la crise.
L’Etat hébreu est sur le point de devenir le berceau de la voiture propre à vocation internationale. Limiter les émissions de CO2, de déchets, développer les techniques de dessalement d’eau de mer, ou encore trouver des moyens de remplacer le pétrole par de l’électricité, autant de sujets qui monopolisent désormais les chercheurs en Israël.
Le temps du pétrole est bien fini. Eh oui , mieux qu'une victoire d'un match de foot , ou de tennis , enfin Israël vient de réussir "l'impossible" :une voiture électrique , et c'est une Renault et le monde est fière pour ce petit pays , si grand , avec ses réserves éternelle de matière grise et il n'y a pas que cela , il y a aussi le médical , la High Tech , certains pourront profiter même avec des grincements de dents .
Ftouh Souhail