Pourtant Benjamin Siksou, jeune artiste de 22 ans découvert par le « grand public » grâce à l’émission Nouvelle Star l’an dernier avec ses fameuses reprises toutes plus surprenantes les unes que les autres de Hey ya (Outkast), Beat it (Michael Jackson), New Soul (Yaël Naim), Satisfaction (Rolling stones), ou encore Halleluja (Leonard Cohen), semblent nous prouver le contraire.
Benjamin est un artiste très présent sur Internet comme beaucoup de jeunes de sa génération qui ont su en faire bon usage, créant un lien direct entre artistes et auditeurs sans passer par la case « maison de disque ». C’est la génération « myspace », ou comment se mettre à nu face à son public sans mentir, on fait ce que l’on aime et on le partage avec ceux qu’on aime. Que ce soit le Jazz, la Soul, le blues ou la folk music, les goûts de Benjamin sont divers et sa musique est un savant mélange de toutes ces influences pour former son propre style.
Cet artiste aime passionnément la musique, il fait ses choix, a sa vision des choses et son public est là, touché par sa sincérité, son intégrité musicale et artistique. Pour preuve, Benjamin a décidé de commencer par une tournée avant même de sortir un album pour « être en contact direct avec son public » ; de même il a fait le choix de diffuser son premier single uniquement sur Internet.
Benjamin Siksou sort son premier single My Eternity (Co écrit avec Hugh Coltman). Des sonorités jazz, un texte intelligent, une mélodie entraînante, et surtout sa voix, mélange de profondeur, de malice et de pudeur qui transparaît ; une façon bien à lui de rythmer les phrases qui, dès la première écoute vous met de bonne humeur et vous touche en plein cœur.
Le clip, c’est après le break
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