Le monde entier pleure la disparition de l’artiste légendaire. Ses proches accusent ses médecins d’être responsables de sa mort.
Michael Jackson est décédé à l’âge de 50 ans dans un hôpital de Los Angeles où il avait été acheminé en urgence pour un arrêt cardiaque. L’annonce de son décès a subitement relégué au second plan tout le reste de ce qui se trame sur notre planète. Sur Twitter, l’information a été relayée à la vitesse de l’éclair dès 23h00 -heure française- et les premiers sites internet qui en ont fait état n’ont pas résisté à l’afflux de fréquentation. L’onde de choc a ébranlé toute la planète.
Tarak Ben Ammar, un ami et ex-manager de Michael Jackson a vite fait de monter au créneau pour dénoncer les médecin « charlatans » qui ont soigné le chanteur au fil de sa carrière. Il les a qualifiés sans détour de « criminels » en estimant qu’ils avaient profité du fait que le chanteur était un "hypocondriaque" avalant des quantités astronomiques de médicaments. Brian Oxman, avocat de la famille Jackson, a affirmé que l’événement « n’est pas quelque chose d’inattendu ». Interrogé sur CNN, l’avocat a ajouté « les gens de son entourage lui ont permis d’avoir accès à des quantités folles de médicaments. Si vous pensez qu’il y a eu des abus dans l’affaire d’Anna Nicole Smith, ce n’était rien à côté de ce que nous avons vu dans la vie de Michael Jackson ». Jermaine Jackson, un des frères ainés de la star et qui a été pris d’assaut par les journalistes devant l’hôpital, a déclaré, abattu, que « le personnel médical a tenté de réanimer Michael pendant une heure, sans succès ».
Du producteur Quincy Jones, bouleversé, à Madonna, effondrée en larmes, le monde du spectacle dans son intégralité pleure aujourd’hui la disparition du monstre de la scène. Arnold Schwarzennegger, gouverneur de Californie et issu lui même du monde artistique, n’y va pas à demi mot : « C’est l’une des figures les plus influentes et les plus emblématiques de l’industrie de la musique qui nous a quitté ».
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