De janvier à mars, la Guadeloupe et la Martinique ont été paralysées par une longue grève. Longtemps en retrait sur le dossier, Nicolas Sarkozy a calmé la colère des Antillais en débloquant 580 millions d'euros qui ont notamment permis d'offrir aux bas salaires les 200 euros réclamés par les grévistes. Et pour préparer l'avenir, il a lancé des états généraux voulus comme un "débat sans tabou" sur tous les sujets.
Aujourd'hui, les mesures d'urgence sont en vigueur et ce que l'ex-secrétaire d'Etat Yves Jégo, très critiqué pendant la crise et débarqué au remaniement de