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Robbie Williams pourrait être impliqué dans une affaire de braquage

Publié le 25 juin 2009 par Orsérie - Le Journal Du Beau & Du Bien-Etre
Robbie Williams a-t’il envoyé des hommes violents, cagoulés et armés pour voler dans les chalets des paparazzis le matériel photo? Le chanteur britannique est actuellement interrogé par la police sur l’île de Staniel Cay, dans les Bahamas. Il restera sous surveillance jusqu’à ce que cette affaire soit tirée au clair.

  Robbie Williams pourrait être impliqué dans une affaire de braquage 

Les deux photographes, Matt Sanchez, de Splash News et Picture Agency, et Carlos Mendez, un free-lance, sont encore sous le choc, traumatisés par les coups qu’ils viennent d’endurer. L’histoire aurait débuté par une querelle, où des insultes ont fusé de part et d’autre entre le groupe d’amis de Robbie et les deux photographes. Le chanteur de Millenium, qui se reposait dans sa maison au bord de la mer, n’a pas apprécié que les deux paparazzis le prennent en photo alors qu’il fumait "une cigarette roulée" (nous n’en sauront pas plus sur la substance en question).

Très en colère, Robbie et ses compagnons ont pris à partie les auteurs du cliché avec une rare violence. Là où l’histoire se corse, c’est qu’à peine deux heures plus tard les deux photographes ont reçu la visite de trois hommes qui ont pillé la chambre qu’ils avaient louée et qu’un des voleurs les a menacé avec un fusil de chasse. Ils ont dérobé leurs appareils photo, des vêtements, des documents de voyage et de l’argent, l’ensemble pour une valeur de 20 000 dollars. Les trois hommes, encagoulés, n’ont pas hésité à les frapper, provoquant des effusions de sang qui ont laissé des traces.

La police, après avoir entendu les deux victimes, a vite fait le rapprochement avec l’altercation qui a eu lieu l’après-midi même avec Robbie Williams et sa petite troupe. Le chanteur, qui a été arrêté par les forces de l’ordre pour être entendu, ne pourra quitter l’île avant nouvel ordre. Dans cette région des Bahamas, il n’est pas considéré comme le suspect numéro un car de tels crimes y sont monnaie courante. Une mafia locale y sème en effet la terreur, au point que les attaques à main armée y ont augmenté de moitié sur les douze derniers mois.

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