Nous avons pu constater que la lubie française de croire à l’égalité entre les hommes, est une douce chimère à laquelle les esprits libres souhaitent s’accorder, mais est-ce vraiment le cas ?
Dans notre société hyper allopathisée, à la moindre alerte nous trouvons un moyens scientifique ou barbare pour y remédier sans jamais laisser le soin à notre organisme de trouver les défenses nécessaires pour combattre un virus, une infection, une maladie.
On a remarqué que les buffles, bovins très sensibles et non stressés, ne développent pas la maladie du "Charbon" en captivité. Le moindre stress peut-être responsable du développement de la maladie et de l’abatage du troupeau, c’est pourquoi, les élevages de buffles en Italie et ailleurs, sont de véritables centres de Thalasso, avec jet d’eau, massage, tout le confort pour cet animal qui nous offre ce fromage délicieux que l’on étale avec plaisir sur nos « pizze » et nos salades, la Mozzarella.
Soit, pour en revenir à notre sujet, il est parfois nécessaire d’utiliser des moyens offerts par la biologie moléculaire moderne pour lutter contre une épidémie, mais pas systématiquement. Un exemple, il y a quelques années, le ministère de la santé a développé une campagne pour les populations à risques, corps médical, enseignants… pour lutter contre l’hépatite.
Un vaccin préventif a été mis en place et on a vacciné quasi systématiquement, quitte, parfois à faire du chantage auprès de ceux qui le refusaient et à raison.
Parmi ces populations vaccinées, certaines ont développé non pas une hépatite, mais une sclérose en plaque, alors que rien ne les prédestinait à cette maladie dégénérescente.
Ce que nous devons comprendre, c’est que notre corps est une formidable usine chimique capable de combattre naturellement des ennemis tous aussi naturels.
On a depuis longtemps constaté que la plupart des populations atteintes par des virus étaient déjà fragilisées par la malnutrition, la mauvaise alimentation, souvent trop sucrée et une santé fragile, la nature fait son office et se débarrasse des plus faibles, mais nous sommes tous à un moment, ou à un autre, sujets à cette faiblesse, c’est pourquoi les sociétés hyper allopathisées ont inventé les vaccins, efficaces pour certains, parfaitement inutiles pour d’autres.
Ainsi, pour les populations ayant développées la sclérose en plaque, on constate qu’elles n’ont pas attrapées l’hépatite mais qu’elles ont développées une maladie tout aussi terrible.
Je suppose que ces personnes avaient naturellement les anticorps pour lutter contre l’hépatite et que même, elles étaient peut-être porteuses saines, ou qu’elles possédaient des gènes enfouis dans leur organisme, capables de lutter contre cette hépatite destructrice. On sait également que les efnants vivants en contact avec des animaux ont moins de risques de développer des allergies, car le corps s'adapte naturellement et fabrique lui-même ses propres défenses.
Mais en injectant le produit, on a développé une réaction du corps qui a ressenti ce vaccin comme un ennemi, et le corps s’est alors mis à se battre contre cet ennemi sensé lui faire du bien. Cet ennemi qui a muté, et qui a fait en sorte d’élire définitivement domicile dans le corps humain pour développer une pathologie tout aussi destructrice pour l’individu victime.
Un médecin qui était payé au chiffre par son labo me proposa de me vacciner contre l’hépatite :
- Pour que je développe une sclérose en plaque, lui répondis-je, non merci.
- Hum ! Pas nécessairement.
- Vous êtes-vous faites vacciné ? Lui demandais-je.
- Non !
- Avez-vous vacciné vos trois enfants ?
- Non ! Oui, d’accord, vous avez peut-être raison.
C’est un exemple parmi tant d’autre, du « faites ce que je dis, mais pas ce que je fais ! » Le médecin me donnait raison malgré sa volonté d’impliquer le contraire, une volonté trahie par une réalité économique. J’ai une amie de fac qui a développée une sclérose en plaque à la suite de ce vaccin, et qui est responsable ?
À cela on répond en haussant les épaules :
- Oui, cela arrive parfois, mais que voulez-vous ce sont les risques encourus à chaque vaccination !
Ce que l’on sait, c’est que toute vaccination à un potentiel de risque important chez certains individus, une minorité. Ainsi, si vous faites partie de ce 5% de la majorité qui réagit mal aux médicaments de toutes sortes, réfléchissez à deux fois avant de vous faire vacciner.
Concernant le vaccin contre la grippe, il n’est absolument pas garanti efficace pour tous et qui sait le type de réaction à plus ou moins long terme de certains sujets face à cet anticorps injecté contre une maladie qui n’est pas encore dans l’organisme ?
Si vous êtes âgé, fatigué, malade, sous traitement chronique, alors, il est nécessaire de vous faire vacciner, mais si vous ne l’êtes pas, si vous êtes en pleine forme, si vous vous alimentez correctement avec des légumes bio, peu de viande, peu de soda, peu de surgelé, et que vous menez une vie saine, le risque que vous soyez toucher par le H5N1 est diminué.
À Toulouse, certains cas ont été déclarés dans une classe, et pourtant tous n’étaient pas contaminés, pourquoi ? Pour les raisons expliquées ci-dessus personne n’est égal face à la maladie, certains développent naturellement des moyens de défenses, d’autres ne le peuvent plus parce que leur horloge biologique est bouleversée, parce qu’elle tourne à l’envers, à cause des médicaments, de la mauvaise alimentation, de la drogue et du tabac...
Je crois sincèrement qu’il n’est pas nécessaire de céder à la panique et un esprit sain dans un corps sain, a plus de chance de ne jamais être touché.
Alors, Le H5N1 vaccination ou pas ?
Je vous laisse le soin de répondre à cette question par vous-même.
Nous vivons une époque formidable…