Selon Silicon, Nokia nierait les accusations d'écoutes téléphoniques révélées par un article du Wall Street Journal.
Le Nokia Siemens Networks (NSN) reconnait cependant avoir fourni des informations en 2008 aux autorités iraniennes ... tout en assurant n'avoir pas vocation à surveiller le trafic ni utiliser les outils de reconnaissance vocale (principalement l'authentification NDLR).
Silicon note cependant que le NSN (qui a caché ses documents, mais pas le cache Google ...) "autorise la surveillance et l'interception de tous les types de communications voix et données de tous les réseaux, fixes, mobile, de nouvelle génération et Internet".
Voilà qui apporte de l'eau au moulin de Phil Zimmermann (créateur du système de cryptage PGP) qui milite en faveur de la protection des communications avec son système Zfone !