Il ne faut pas oublier que les sommes investies dans des PME à titre d’apports en numéraires avant le 15 juin 2009 peuvent s’imputer sur l’ISF des souscripteurs à hauteur de 75% à la condition de les conserver au moins 5 ans.
Certes le souscripteur court le risque de ne pas pouvoir récupérer la valeur de ses parts, mais s’il paie l’ISF, il est sûr de ne pas pouvoir se faire rembourser…