"Comme je l'ai déjà dit, en tant qu'ancien fumeur, je bataille sans cesse, ai-je fait des écarts parfois ? Oui. Suis-je un fumeur au quotidien ? Non. Je ne fume pas devant mes enfants, je ne fume pas devant ma famille", a déclaré le président américain. "Je dirais que je suis à 95% guéri. Mais vous savez, il y a des moments où... des moments où je dérape".
"Je dérape ", "au moins une fois par mois", "à 95%"...tu sais que c'est pitoyable, hussein!
Tu me rappelles ce clown de Clinton sommé de détailler ses aventures sexuelles et tabagiques avec Monica et acceptant de s'y soumettre devant les caméras, devant un peuple tout entier, devant sa femme et ses enfants, ses amis, ses parents...
Il aurait suffit de dire "mind your bizness, asshole!" en sortant une lucky strike de ta poche...ou "je le descends d'abord, c'est ma politique"...même toi, petit hussein, censément un des hommes les plus puissants du monde, tu n'as pas le pouvoir de résister à ce politiquement correct, ce PC, qui transforme le superbe métis que tu es, espoir de l'humanité progressiste, en petit garçon repentant et soumis: « je dérape »...l'avantage, c'est que ça situe assez bien le bonhomme. T'es une ptite bitte!
Mais tu sais, Hussein, il n'est pas trop tard pour grandir et parler comme un homme.
Comme Patton en 1945 par exemple : «Vraiment, les Allemands sont le seul peuple décent qui reste en Europe. C'est un choix entre eux et les Russes. Je préfère les Allemands»
Comme De Gaulle : « Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri, même s’ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. »
Comme Christian Jelen : « La préférence nationale est au centre des débats du syndicalisme ouvrier, aussi bien avant 1895, année de naissance de la CGT, qu’après. Pour les syndicalistes, des immigrés trop nombreux forment la réserve du capitalisme dont parlait Marx. Les patrons s’en servent pour diminuer les salaires. Pour ne pas en arriver à une situation conflictuelle, la CGT préconise un strict contrôle des flux migratoires. »
Comme Ministère amer : « J’aimerais voir brûler Paname au napalm sous les flammes façon Vietnam Tandis que ceux de ton espèce galopent Oui 24 heures par jour et 7 jours par semaine J’ai envie de dégainer sur des faces de craies. »
Comme Julien Freund : « Le seul communiste que j'ai connu dans la Résistance ; ce fut après mon évasion de la forteresse de Sisteron. Il dirigeait un maquis F.T.P. de la Drome. C'était un alcoolique doublé d'un assassin. A Nyons, il a flanché dans les combats contre les S.S. et je me suis retrouvé seul au feu avec quelques Italiens. Il fut néanmoins décoré d'abondance, et c'est pourquoi j'ai refusé toutes les médailles... à l'exception d'une médaille allemande ! »
Comme Cioran : « Quelle malédiction a frappé l'Occident pour qu'au terme de son essor il ne produise que ces hommes d'affaires, ces épiciers, ces combinards aux regards nuls et aux sourires atrophiés, que l'on rencontre partout, en Italie comme en France, en Angleterre de même qu'en Allemagne ? Est-ce à cette vermine que devait aboutir une civilisation aussi délicate, aussi complexe ? Peut-être fallait-il en passer par là, par l'abjection, pour pouvoir imaginer un autre genre d'hommes. »
Ou comme André Bercoff : « Voilà ce qu’est devenu l’Occident. C’est un petit mec qui a peur d’être ce qu’il est, qui surtout ne veut pas qu’on parle, qui passe sous la moquette, qui se fait tabasser, qui va reprendre le Noctilien, pour à nouveau se faire tabasser. Ce n’est plus du masochisme, c’est véritablement l’annonce d’une disparition qui se veut consentante. »
Courage, biquet. Je sais que tu peux le faire !
Hoplite.