Et je me casse en vacances

Ouaip j'me barre en vacances avant de péter un plomb sévère. Où j'veux, quand j'veux, combien de temps j'veux et avec qui j'veux. Pourquoi ? Parce que...

- Jacquou Le Croquant : Excellent film dramatique français, il y a un vrai scénario et les acteurs jouent très bien leur rôle. En un mot il faut le voir car il vaut le détour.

- Hellphone : Oué bon un ado (Jean-Baptiste Maunier) a un téléphone machiavélique, c'est long et en plus le pré-pubère il utilise son téléphone (qui destroy tout le monde) uniquement pour se tirer la bonasse (Jennifer Decker). Une comédie daubée pour finir une soirée sans trop réfléchir.

- J'attends quelqu'un : LE BOULET... à l'eau de rose ! Il n'y a rien à voir, pas grand chose à comprendre, le scénario est à chier et ça traine pendant des heures. C'est un film français à coup sûr et donc pas la moindre pouf administrable comme il se doit. On s'emmerde à mourir J'en viens même à me demander s'il y a une histoire. On attend la fin et puis... bah je crois qu'il n'y a pas vraiment de fin.

- Antitrust : C'est un thriller informatique bien mené et prenant, avec d'excellents renversements de situation. Le suspense est très bien entretenu et les évènements sont assez imprévisibles. A prendre avec des pincettes pour les puristes puisque le super hacker (Ryan Phillippe) code du HTML sur son Atari dans sa chambre.

- Thank You for Smoking : On se retrouve avec un nouveau film sur le tabac decomplexé et satyrique. Ca change ! J'ai franchement pris mon pied devant ce film. Les répliques fusent, les situations sont marrantes, les acteurs sont atypiques et vraiment bien représentés. Heureusement qu'il y a Aaron Eckhart (Pour ceux qui ont vu Lord of war : un Yuri Orlov du tabac, beau parleur, sarcastique et qui a forcement toujours raison). Le film est très bien réalisé (Jason Reitman), avec des plans sympa, les musiques collent à l'action. Une sorte de documentaire plein d'humour noir.

- Chambre 1408 : L'auteur Mike Enslin (John Cusack) ne croit pas au paranormal. Il bosse sur son dernier ouvrage et il découvre la chambre 1408 du Dolphin Hotel, où se sont produites de nombreuses morts inexpliquées et souvent violentes. Il décide d'y passer une nuit. Ce film relève plus de la science-fiction que de l'horreur selon moi. On ne peut pas dire que l'on soit effrayé en permanence. C'est un gentil film d'épouvante quoi.