Le boss Isan Oral veut lancer un club moins berlinois et plus ouvert à l’international, d’où le nom en anglais, qui correspond parfaitement à cette boîte de nuit en forme de cube : “On ne veut pas devenir un deuxième Berghain“, le club régulièrement cité comme le meilleur au monde, lui aussi calé dans une ancienne centrale électrique non loin de la Spree. “Ce sera différent, parce que les salles sont plus petites, et on a une terrasse sur le toit pour l’été. On pourra ouvrir les salles une par une, ce qui permet de s’adapter à l’affluence.” Un nouvel endroit à ajouter dans le guide du clubber.