Quand le temps fuit jusqu'à plus revenir,
quand les fleurs jaunies brillent sous le soleil,
Quand les buissons ardents peinent du ressentir,
Quand la raison l'emporte , que rien n'est plus pareil,
alors, les gens ignorent jusqu'aux brûlures de tes chairs,
Leurs regards obtus qui soulignent tes vers,
et refusent de lire , ils te renient, leur frère!
toi, passant de l'ultime tu connais leur affaire,
De toi et puis des autres ils n'ont plus rien à faire,
rien ne peut apaiser, la haine, leur colère,
et tu noies leurs esprits dans la mélancolie,
tu les aimes pourtant , tu les attends aussi!