Réalisé par David R. Ellis, déjà auteur du second volet de la saga, "Destination Finale 4" s'appuie sur le même principe que les précédents opus. Un groupe d'adolescent qui échappe à la mort grâce à des visions prémonitoires se voit traqué par la Grande Faucheuse, qui compte bien ôter la vie à tous ceux qui étaient destinés à périr dans l'accident (ici une course de stock-car). Si de nouveaux stratagèmes macabres ont été imaginés, la grande innovation de "Destination Finale 4" réside dans le fait qu'il a été tourné en trois dimensions. Avant sa sortie le 16 septembre prochain, découvrez vite les premières images de "Destination Finale 4" !
Né le 8 décembre 1936 à Hollywood – capitale mondiale du septième art, David Carradine est décédé dans la nuit du 3 au 4 juin 2009 dans sa chambre d'hôtel à Bangkok en Thailande alors qu'il participait au tournage du film "Stretch" réalisé par le français Charles de Meaux. Àgé de 72 ans, il aurait accidentellement succombé à un jeu sexuel ayant mal tourné. Fils de l'illustre comédien John Carradine, l'acteur s'était rapidement fait connaître du grand public grâce à la très populaire série télévisée "Kung Fu" imaginée par Bruce Lee dans les années 1970. Il y incarnait le maître en arts martiaux Kwai Chang Caine, alias "Petit Scarabée". Un rôle qu'il avait d'ailleurs eu l'occasion de reprendre dans les années 1990 lorsque fut produit la série dérivée "Kung Fu", la légende continue pour laquelle il donna la réplique à l'acteur canadien Chris Potter qui y interprétait son fils. Les téléspectateurs avaient également pu l'apercevoir dans le feuilleton qui avait révélé Patrick Swayze, "Nord et Sud", ainsi que dans d'autres séries telles que "Charmed", "Médium" ou encore "Largo Winch" (où il campait alors le rôle de Nério Winch, père de Largo). Habitué aux seconds rôles qui font toute la différence, David Carradine était aussi apparu dans des productions aussi diversifiées que "Le Privé" de Robert Altman en 1973, "Mean Streets" de Martin Scorsese en 1976 ou encore "Je te tiens, tu me tiens par la barbichette" de Jean Yanne en 1979.
C'est en 1972 que David Carradine fait une entrée fracassante au cinéma en incarnant un syndicaliste anarchiste aux côtés de Barbara Hershey dans le premier long-métrage de studio réalisé par Martin Scorsese, "Bertha Boxcar". Fort du succès de la série "Kung Fu" à la télévision – qui fut nommée pas moins de sept fois à l'Emmy au cours de sa première saison (dont une pour le comédien) – celui-ci décroche ensuite le premier rôle du biopic "En route pour la gloire" que Hal Ashby (monteur réputé ayant souvent œuvré pour Norman Jewinson) consacre au chanteur et compositeur libertaire Woody Guthrie en 1976. Cette prestation lui vaudra le prix du National Board of Review et une citation au Golden Globes. Remarqué par le réalisateur Ingmar Bergman, David Carradine part alors pour Munich en 1976 où il se glisser dans la peau du trapéziste juif américain Abel Rosenberg pour le film "L'Œuf du serpent". Toujours au cours des années 1970, il tourne à deux reprises dans des séries B luxueuses du réalisateur Paul Bartel. Il incarne ainsi le légendaire Frankenstein dans le jouissif "La Course à la mort de l'an 2000 – Les Seigneurs de la route" en 1975 et un autre pilote intrépide dans le plus mésestimé "Cannonball !" en 1976.
En 1980, il décroche le rôle du mythique Cole Younger dans "Le Gang des frères James" de Walter Hill. Composé de plusieurs fratries d'acteurs – comme les Keach (James et Stacy), les Quaid (Dennis et Randy) ou encore les Guest (Christopher et Nicholas) – ce film offre l'opportunité à David Carradine de donner la réplique à ses deux demi-frères, Robert et Keith (il retrouvera ensuite ce dernier en 1997 lors du tournage du téléfilm "Last Stand at Saber River" de Dick Lowry, dans lequel apparaissent également Tom selleck et le jeune Haley Joel Osmond). Pâtissant allègrement de la consommation excessive de drogues et d'alcool de l'acteur, sa carrière s'avèrera malheureusement moins florissante par la suite pour ce dernier qui devra alors enchaîner les productions fauchées comme "Œil pour Œil" (1983) de Steve Carver avec Chuck Norris, "Río abajo" (1984) de José Luis Borau avec Victoria Abril, "Armés pour répondre" (1986) de Fred Olen Ray avec Lee Van Cleef, ou encore "Waxwork II" (1992) d'Anthony Hickox avec Zach Galligan (pour ne citer que les moins honteuses). En 1990, il tournera tout de même aux côtés de Mel Gibson et Goldie Hawn dans la comédie d'action "Comme un oiseau sur la branche" de John Badham.
Il faudra toutefois attendre les années 2000 pour David Carradine revienne réellement sur le devant de la scène grâce à son inoubliable rôle d'homme à abattre dans le bien-nommé diptyque "Kill Bill" (dont les deux volets sortent respectivement en 2003 et 2004). Après John Travolta ("Pulp Fiction"), Pam Grier ("Jackie Brown") et avant Kurt Russell ("Boulevard de la mort, un film Grindhouse"), Quentin Tarantino aura donc une nouvelle fois réussi à orchestrer le fulgurant come-back d'une figure emblématique trop rapidement tombée dans l'oubli. Loin de choper la grosse tête pour autant, l'acteur n'hésitera d'ailleurs pas un instant à jouer avec son image ; comme en atteste l'atypique film de zombies "Dead & Breakfast" de Matthew Leutwyler sorti en 2004 (dans lequel joue également sa nièce, Ever Carradine) ou encore le décalé "Big Stan" que réalise le comédien Rob Schneider en 2007. En plus de cents films au cours de toute sa carrière et pas moins que quatre nominations aux Golden Globe Awards, David Carradine aura souvent réussi à se diversifier et démontrer, si besoin était, qu'il avait du talent à revendre. Ainsi, il n'est pas vain non plus de rappeler qu'il s'était aussi essayé à la réalisation avec les longs-métrages "You and me" en 1972, "Mata Hari" en 1978 et surtout "Americana" en 1981. Ce drame dans lequel il se mit également en scène lui permettra ainsi de remporter le prestigieux Prix du public à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes.
Les amateurs et orphelins de ce bon vivant, qui se maria à cinq reprises et eut deux enfants, pourront se consoler une dernière fois en découvrant David Carradine prochainement à l'affiche du très attendu "Hyper Tension 2" du duo Mark Neveldine & Brian Taylor, dans lequel on retrouvera également la belle Amy Smart et le survolté Jason Statham.
L'intégralité de cette news est un copier/coller mot pour mot de l'article écrit par Shin sur son blog (que je vous invite fortement à découvrir d'ailleurs ;-) ). C'est l'un des rares articles que j'ai lu qui rendait à la fois hommage à cet immense comédien et qui en plus resté respectueux. J'arrive toujours pas à le croire en tout cas. Même dans un mauvais film, il avait une classe d'enfer et apporter un plus au film. Il faisait parti de ses immortels que je ne voyais pas disparaitre un jour. La réalité nous rattrape cruellement parfois...
Au cours d’une vie, il arrive souvent de tomber littéralement amoureux d’un pays. C’est apparemment ce qui se passe pour Danny Boyle, qui après son "Slumdog Millionaire" aux moults Oscars dont les plus prestigieux (Meilleur film et Meilleur réalisateur), se relance dans un projet indien.
Le réalisateur anglais aurait effectivement acquis les droits du livre "Bombay Maximum City" du journaliste Suketu Mehta, et en préparerait une adaptation sous la forme d'un thriller tourné uniquement de nuit. Loin de l’histoire d’amour de "Slumdog Millionaire", mais toujours en Inde !
Écrite lors de son retour à Bombay après 21 ans passés aux Etats-Unis et finaliste pour le prix Pulitzer en 2005, l’œuvre de Mehta, est une sorte de croisement entre journal de bord, enquête et essai. L’auteur aborde, à travers l’activité nocturne de la ville, ses différents problèmes sociaux comme le crime organisé ou encore l’opposition entre hindous et musulmans.
Il semblerait que l’acteur bollywoodien Aamir Khan ait été approché pour tenir le rôle principal de l’adaptation de Danny Boyle, mais rien n’est encore officiel.
Un projet à suivre de très prêt surtout que hormis "La plage" à ma connaissance, rare sont les films de Danny Boyle à être mauvais ^^ .
Ça n’arrête pas pour les X-Men ! Après le spin-off "X-men Origins : Wolverine", c’est au tour de nos jeunes mutants d’avoir leur propre film. En effet, la Twentieth Century Fox, a récemment déclaré vouloir produire, en collaboration avec Josh Schwartz le film "X-men : First Class", qui reviendra sur l’apprentissage des étudiants de l’école du professeur Xavier.
Anna Paquin vient d’annoncer qu’elle reprendra son rôle de Malicia, jeune canadienne aspirant l’énergie des autres en les touchant.
L’histoire devait se centrer sur la jeunesse des mutants « enseignants » comme Cyclope, Tornade ou le docteur Jean Grey, mais l’actrice vient de déclarer que le film se concentrera sur les jeunes mutants aperçus dans "X-men 2" et "X-men L'Affrontement Final", soit Malicia, Iceberg, Archangel, Kitty Pride et Piotr « Colossus » Rasputin.
Après avoir réalisé le troisième opus de la saga, Brett Ratner s’est dit intéressé par la réalisation de "X-men : First Class", mais rien n’est encore dit concernant la reprise des rôles par Shawn Ashmore (Iceberg), Daniel Cudmore (Colossus), Ben Foster (Archangel) ou encore Ellen Page (Kitty Pride). La production de "X-men : First Class" est prévue pour 2010.
Après avoir vu le premier spin off et sachant que Ratner est intéressé pour filmer ce prochain projet, je dois dire que je suis loin d'être emballé. Aimant cependant le genre qui reste très divertissant, je suis prêt à leur laisser une chance mais pour l'instant, ça fait pas partie de mes grosses attentes.
Jean-luc Godard travaille sur un prochain long-métrage qui devrait être consacré à la mémoire de l'Holocauste. Selon le quotidien spécialisé The Hollywood Reporter et Relax News, le cinéaste franco-suisse s'appuierait sur "Les Disparus" du journaliste américain Daniel Mendelsohn, lauréat du Prix Médicis du roman étranger en 2007.
Entre l'essai et le roman, "Les Disparus" raconte à la première personne la quête de Daniel Mendelsohn à la recherche des traces de la branche polonaise de sa famille disparue durant la Seconde Guerre mondiale. Le livre a rencontré un franc succès critique en remportant le prestigieux National Book Critics Circle Award outre-Atlantique. En France, outre le Prix Médicis, "Les Disparus" a également reçu le Prix Lire-RTL.
Jean-luc Godard, 78 ans, ne serait pour le moment qu'au stade de la négociation des droits d'adaptation. Le réalisateur peaufine son dernier long-métrage, "Socialisme", attendu en 2010 dans les salles françaises.
Chef de file de la Nouvelle Vague, Jean-luc Godard a signé des classiques tels que "A Bout De Souffle" (1960), "Le Mépris" (1963) ou encore "Pierrot Le Fou" (1965) avant d'explorer une forme plus expérimentale du 7ème Art.
Que Hollywood décide de revisiter le classique de Walt Disney "La Belle et la bête", rien d’étonnant, mais en apprenant que Mary-kate Olsen fera partie de cette ‘aventure’, on ne peut s’empêcher de se demander si elle jouera la Belle ou la Bête.
Rien de tout cela malheureusement - ou heureusement - tout dépend de votre attachement à la version d’origine et de votre appartenance ou non au fan-club du duo de chic et de choc que sont les jumelles Olsen.
C’est Vanessa Hudgens, révélée par "Thirteen" mais abonnée depuis aux films pour teenagers gnangnan qui avait décroché il y a quelques mois le rôle de « la belle ».
Mary-Kate, la sœur Olsen trashy et ex-cocaïnomane délaissera donc le temps du film sa moitié pour incarner une jeune femme qui jette un sort à un bel Apollon un rien égocentrique.
C’est le Britannique Alex Pettyfer qui se glissera dans les baskets de cette « bête », un jeune homme qui, suite à ce mauvais sort, prendra l’apparence de tout ce qu’il déteste le plus au monde.
L’action de "Beastly" se déroulera à New York, et le film restera donc fidèle au roman du même nom signé Alex Flinn, un romancier américain spécialisé dans les livres pour ados.
Le tournage débutera la semaine prochaine à Montréal. En attendant pour les fans des jumelles Olsen, vous pouvez retrouver Mary-Kate dans la série "Weeds", dont la saison 5 débute cette semaine aux Etats-Unis et où elle interprète la petite amie du fils Botwin, Silas.
La version de Disney étant un grand classique qui à bercé mon enfance, l'idée d'une adaptation de ce dessin animé (qui était déjà une adaptation) me fait un peu peur....
Les remakes de films français ont le vent en poupe aux Etats-Unis. Avec, prochainement, "Dinner For Schmuks", remake du "Le Dîner De Cons" et "13", celui de "13 Tzameti", c’est au tour du thriller "Pour Elle" de Fred Cavayé, d’avoir droit à son adaptation US.
Et c’est à Paul Haggis que reviendra cette tâche. Lionsgate vient d’acquérir les droits du film auprès de Wild Bunch et de Fidélité Films. Le film sera renommé "The Last Three days". Paul Haggis aura l’occasion de retourner derrière la caméra, après le drame oscarisé en 2006, "Collision" et "Dans La Vallée D'Elah" en 2007.
Sorti en décembre dernier et ayant reçu un excellent, accueil de la critique et du public, le premier film de Fred Cavayé racontait l’histoire de Julien, un simple instituteur, qui assiste à l’arrestation de sa femme, Lisa, pour un meurtre qu’elle n’a pas commis. Julien va alors réfléchir à un plan pour faire sortir Lisa, coûte que coûte.
Paul Haggis, qui produira et écrira également le scénario du film, a déclaré : « Je vais explorer les profondeurs de la foi et les limites de l’amour ».
"Pour Elle", thriller effréné, présentait Vincent Lindon face à Diane Kruger sous l’œil du jeune réalisateur Fred Cavayé. Le film a également décroché une nomination au césar du meilleur premier film. Le film sortira le 23 juin prochain en DVD.
Malgré de grossière facilité, j'avais bien aimé ce film au suspense qui tenait jusqu'au bout. Aimant beaucoup ce que fait derrière la caméra Paul Haggis, il y à donc de forte chance que j'aille voir ce film :-) .
Les studios américains Columbia Pictures se sont attachés les services du réalisateur et scénariste Kurt Wimmer pour remettre au goût du jour le film de science-fiction "Total Recall" de Paul Verhoeven sorti en 1990, rapportent la presse spécialisée de Hollywood et Relax News.
Habitué au genre de l'anticipation, à travers "Equilibrium" (2002) et "Ultraviolet" (2006), Kurt Wimmer rédigera le scénario du nouveau "Total Recall". Il sera chargé de moderniser l'intrigue qui s'inspirait de la nouvelle "We can Remember it for You Wholesale" de Philip K. Dick.
Le film original mettait en scène Arnold Schwarzenegger dans la peau de Doug Quaid. Ce dernier embarquait sur Mars pour tenter de recoller les bribes de sa mémoire et découvrir qu'il peut sauver le sort des habitants de la planète rouge. Sharon Stone y trouvait un de ses premiers rôles marquants. Le long-métrage avait rapporté près de 261 millions de dollars à travers le monde.
Rien n'a filtré sur le casting du remake ni sur son réalisateur.
Harry Houdini, de son vrai nom Ehrich Weiss, fera l’objet d’un biopic. La réalisation a été confiée à Jeff Nathanson, scénariste du film "Arrête-moi Si Tu Peux" de Steven Spielberg. Le film s’inspira du livre "The secret life of Houdini : the making of America’s first superhero" écrit par William Kalush et Larry Sloman.
Cette œuvre biographique, publiée en 2006, nous apprend qu’Houdini aurait été un espion pour le compte des US Secret Service et du MI5 Britannique et que son passe-temps favori était de démasquer les faux médiums en parcourant le pays.
Houdini était un célèbre magicien de la fin du 19ème siècle, connu pour ses talents de prestidigitateur, il pouvait s'évader d'une malle remplie d'eau, fermée et enchaînée, ou d'un bidon en métal. Il avait déjà fait l’objet d’un long-métrage en 1954 dans le film de George Marshall, le Grand Houdini était alors interprété par Tony Curtis.
D’abord annoncé sous le titre de "The Human Factor", le biopic de Clint Eastwood sur Nelson Mandela est ensuite devenu « le projet Nelson Mandela sans titre de Clint Eastwood » ! Maintenant c’est sûr, Kris Tapley de In Contention.com l’a maintes fois vérifié, le film a enfin son titre. Et quel titre !
L’adaptation par Eastwood du livre de John Carlin "Playing the Enemy : Nelson Mandela and the Game That Made a Nation", s’appellera… Roulements de tambours… "Invictus" !
Titre latin d’un poème de William Ernest Henley, Invictus signifie « invincible ». Invincible comme l’a été le grand Nelson Mandela, enfermé des années durant pour trahison, ou plutôt pour combat pour la liberté un peu trop dérangeant à l’époque de l’Apartheid en Afrique du Sud.
Lors d’une interview pour le Reader’s Digest, Mandela confie que ce poème l’a aidé à tenir pendant toutes ces années de prison, notamment les derniers vers : « Aussi étroit soit le chemin, Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme Je suis le maître de mon destin, Et capitaine de mon âme. »
Avec Morgan Freeman dans le rôle principal et Matt Damon en capitaine du rugby, encore un Clint Eastwood où force et poésie vont délicatement s’entremêler… Enfin on l’espère en tout cas…
Vivement la sortie de ce film qui s'annonce déjà, du moins pour moi, comme l'une de mes plus grosses attentes :-) .
Le chanteur français Julien Doré, révélé dans l'émission Nouvelle star de M6, a décroché le rôle de l'artiste français Marcel Duchamp dans un film biographique autour de Man Ray, chef de file du surréalisme, ont révélé l'hebdomadaire "Le Journal du dimanche" et Relax News.
Julien Doré incarnera l'inventeur sulfureux des ready-made qui ont remis en cause l'académisme artistique dans les années 1910. Il donnera la réplique à Giovanni Ribisi qui prêtera ses traits à l'Américain Man Ray. Emma De Caunes a aussi intégré le casting dans la peau de Kiki de Montparnasse.
Le cinéaste d'origine vénézuélienne Temistocles Lopez mettra en scène le long-métrage qui laissera une large place aux décors parisiens.
Alors qu’on apprenait la semaine dernière que Paul Verhoeven souhaitait se lancer dans l’adaptation du roman "The Surrogate" de Kathryn Mackel, il se dit aujourd’hui que L’actrice pré-retraitée Halle Berry pourrait rejoindre le projet.
"The Surrogate" met en scène un couple qui devant leur échec à concevoir un enfant, fait appel à une mère porteuse. Seulement, il réalise bien tard que cette dernière est folle.
Apparue pour la dernière fois à l'écran en 2007 dans "Dangereuse Séduction" face à Bruce Willis, puis en 2008 dans "Nos Souvenirs Brûlés" aux côtés de Benicio Del Toro, Halle Berry, devenue maman pour la première fois l'an dernier, signerait ici son grand retour.
L'acteur Jonah Hill réalisera l'adaptation cinématographique de la série "21 Jump Street" et il a fait savoir qu'il souhaitait vivement que Johnny Depp apparaisse en caméo dans le film.
Johnny Depp était en effet la vedette de la série "21 Jump Street", série qui l'a révélé au public, faisant de lui le chouchou de toutes les jeunes filles en fleur. Johnny Depp a relativement mal vécu cette période d'idôlaterie et, alors qu'il recherchait des rôles plus profonds, il a eu tendance à renier l'héritage "21 Jump Street".
C'est donc difficile de l'imaginer participer au projet "21 Jump Street" mais, d'un autre côté, le garçon a pas mal d'humour et un peu plus de recul sur sa carrière, il a un peu abandonné son côté radicalement rebelle. De plus Jonah Hill a fait savoir que la scène vouée à Johnny Depp avait été particulièrement soignée et qu'elle proposerait une séquence des plus savoureuses. S'il garde jalousement les détails de la scène, Jonah Hill les a exposés à l'agent de Johnny Depp.
La série a été diffusée aux Etats-Unis entre 1987 et 1990 et mettait en scène le jeune inspecteur Tom Hanson (Johnny Depp), engagé dans une unité d'élite de jeunes officiers. Ainsi, tout comme ses collègues - Judy Hoffs (Holly Robinson Peete), Doug Penhall (Peter DeLuise) et Harry Truman Ioki (Dustin Nguyen) - il travaille sous couverture dans les lycées afin d'y combattre le crime.
Neal Moritz et le créateur de la série, Stephen J. Cannell, produisent le film.
Johnny Depp sera le 8 juillet prochain à l'affiche de "Public Enemies", de Michael Mann.
Plus jeune, j'étais un grand fan de cette série. Même si je doute qui vont réussir à garder l'esprit de la série l'époque étant pas du tout la même et de grandes choses s'étant passé depuis, j'espère toutefois que le résultat sera plaisant (et qui garderont ce générique ultra classe qui me faisait danser devant ma télé ^^). Sans Johnny Deep ça sera bizarre quand même.
Twitter est ton ami. Et celui de Clive Barker, qui poste depuis peu sous le pseudo RealCliveBarker. L'occasion de distiller quelques mots et infos sur ses films, projets et donc "Hellraiser" : « Pascal Laugier n'est malheureusement plus attaché à la réalisation du remake de Hellraiser. Je pense toujours que Martyrs est un film extraordinaire. Je n'en sais pas plus. Franchement, pourquoi me préviendraient-ils ? J'apprends les choses comme vous ou par des amis plus au courant que moi. Désolé si ça vous paraît cynique. Hein ? Bon. » Ce n'est donc que le troisième réalisateur français après Alexandre Bustillo et Julien Maury d' "A l'intérieur" que les frères Weinstein épuisent.
Pour donner le change, Clive Barker annonce aussi que les bobines manquantes de "Cabal", coupées et perdues par la censure à l'époque, ont été retrouvées : « Cabal a toujours été ce film mal aimé où soi-disant, j'essaie de faire des monstres les gentils parce que je suis gay. Donc, le problème est de convaincre le boss de Morgan Creek de mettre de l'argent pour faire une Director's Cut. Sauf que selon lui, tout le monde s'en fout de Cabal. » Ambiance, ambiance.
Retrouvez ici l'affiche française de "Harry Potter et le Prince de Sang mêlé", dirigé par David Yates, qui continue donc après "Harry Potter et l'Ordre du Phoenix", et dans lequel on retrouve toujours le trio Daniel Radcliffe / Emma Watson / Rupert Grint.
La sortie du film aura lieu le 15 juillet.
Parce que vraiment j'arrive toujours pas à croire que le cinéma ait perdu un acteur de la classe et du charisme de David Carradine, parce qu'il à souvent été sous exploité au cinéma et que je regrette que l'on ait pas toujours su exploiter son immense talent et aussi parce que j'avais envie de lui dédier un billet, voici une ultime vidéo que j'ai trouvé sur Youtube. Elle n'as rien de bien novatrice mais elle me permet de finir en images avec cet acteur...