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L'inspecteur Laurent Maroni recherchait désespérément des témoins. Ce qu'il savait de l'assassin ? Bien peu de choses, tout compte fait - à part le fait qu'il avait affaire à un déséquilibré d'une quarantaine d'années, presque chauve, en survet, et qui, parait-il, arborait à chaque fois un sourire sadique en chantonnant une célèbre chanson des Rita Mitsouko dès qu'il approchait ses futures victimes - à chaque fois, d'ailleurs, des amoureux.
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