Seul, trop seul avec son piano, Damien Rice pleure son amour parti (avec un autre homme).
Sans tomber dans un mélo trop facile ou dégoulinant, l’interprétation est digne, profonde, les paroles parfois crues, mais toujours touchantes. On est emporté par cet amour véritable et absolu. Un amour à la Stephan Zweig dans le roman “vingt-quatre heures de la vie d’une femme” .
A l’écoute après le break
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