Chercheurs 2.0?
"Des échanges épistolaires à la diffusion en ligne globalisée, le chercheur, au-delà de communiquer ses résultats a toujours dû mettre en avant sa personne pour continuer ses recherches. Il semble que le chercheur doive désormais veiller davantage à sa marque de fabrique que constitue sa signature, ce qui l'entraîne dans des stratégies d'intelligence personnelle au sens d'intelligence économique ou territoriale. En effet, ce dernier travaille davantage en réseau au point que désormais nous pouvons parler de science réticulaire qui opère en liaison. Faut-il pour autant parler de « chercheur 2.0 » ?"
(source: Gabriel Gallezot, Olivier Le Deuff, ArchiveSIC, 15/06/09)