Y’a pas un quartier à Genève qui n’a pas vibré, vécu, dansé, chanté, fredonné au rythme de la musique. La musique qui a pris ses quartiers ce week-end dans les rues était présente partout. Dans les rues mais aussi dans les parcs, les bistrots et les trams. Il y avait pour tous les goûts et pour tous les âges. En veux-tu en voilà. Du rock, de la fanfare, du jazz, du reggae, du ska, de l’ethno, de l’électro, du Hip Hop, du latino, du baroque, du funk, de la musique classique…Il n'y a pas un genre qui a été oublié. Même les enfants ont eu droit à leur spectacle. Certaines salles de cinéma ont joué le jeu en projetant des films musicaux et d’autres lieux culturels ont organisé des ateliers. J’ai fini par faire une overdose musicale sans pouvoir honorer le un dixième des concerts programmés en cette 18ème édition. Le programme des organisateurs parle de 500 concerts du plus petit au plus grand. De l’affluence confidentielle à celui qui affiche guichet fermé. Quel guichet ? Tout est gratuit, sinon ce n’est plus la fête.
Ce que j’aime dans ce genre de manifestation c’est la présence côte à côte de chanteurs professionnels et d’amateurs qui l’espace d’un week-end transcendent une ville toute entière.
La fête de la musique qui est célébrée dans bon nombre de pays réunit tous les ans un public nombreux constitué de mélomanes et d’amateurs. C’est une occasion de plus de se retrouver en famille ou entre amis dans une ambiance festive. Et c’est également l’occasion de découvrir ou de redécouvrir de nouveaux sons et interprètes et de revisiter les classiques et le répertoire. Ça fait du bien aux oreilles et au corps, ça égaye la vie et paraît-il ça adoucit les mœurs. La musique j’adore et vive la Fête !
Conseiller administratif responsable du Département de l'environnement entre autre chasseur d'affiches sauvages: en rapport avec cette rubrique, les liens suivants:Affiches sauvages, Genève, n'est pas une poubelle, Pierre Maudet, j'adore! et Sécu-municipaux-cop!, Maudet aux Pâquis!