Un étrange conte freudien ou kafkaïen ou Magrittien ou Lewiscarolien suivant votre idée, au fond.
Un lapin grand comme une salle à manger, ça vous encombre un appartement. Difficile à caser. Difficile à cacher...à sa voisine. Quelques réminiscences oniriques contribuent à obscurcir ce conte. Et plus vous avancez, plus vous comprenez que vous ne comprenez rien. C'est freudien, figurez vous, de poser des lapins comme ça ; de chercher à ravir l'objet du désir et de tenter vainement de le masquer alors qu'il vous encombre. La bestiole pachydermique finit par casser des briques et, au bout du compte, vous donne un étrange frisson. Mais, je ne vous en dis pas plus...