Les paroles présidentielles peuvent être expliquées de bien des façons, il est possible de voir la fonction métalinguistique à l'oeuvre comme Olivier qui s'interroge sur les manifestations de sincérité, mais moi après coup, je me suis demandé quel était l'interlocuteur réel de notre divin président :
Réponse de Nicolas Sarkozy, après un léger rire: "C'était pas la peine de vous mettre à ma droite pour parler de ça, franchement.
Pourquoi la position du journaliste changerait-elle quelque chose au sens du propos ? Serait-ce une allusion à l'apologue des deux brigands qui entourent le Christ ? Le mauvais bandit était bien sûr à gauche...
Enfin écoutez c'est ridicule. Franchement, monsieur, franchement c'est ridicule.
Là, il interpelle clairement le journaliste, mais il le…