«Fusionnez, fusionnez, et on verra bien après». Le mariage au pas de charge des Banques Populaires et des Caisses d'épargne qui doit être bouclé à la fin de ce mois deviendra un cas d'école dans le monde des fusions acquisitions. En principe avant d'annoncer leur rapprochement les entreprises concernées et leurs conseils travaillent à la pertinence du projet industriel, à ses implications financières, managériales et sociales. De part et d'autre on évalue les risques d'exécution, c'est-à-dire tous les éléments qui pourraient mettre à mal la fusion et ensuite on décide de franchir le pas ou de ranger le dossier dans les cartons.
Pour les Banques Populaires et les Caisses d'épargne, c'est l'inverse. La situation catastrophique de leur filiale commune Natixis, qui a enregistré 5,5 milliards de pertes depuis 2007 et porte encore à son bilan 33 milliards d'actifs toxiques, l'extrême fragilité du Groupe Caisse d'épargne et la dégradation financière du Groupe Banque Populaire pouvaient conduire au pire.
l'article complet sur:http://www.slate.fr/
un article propulsé par TORAPAMAVOA :
http://torapamavoa.blogspot.com Clikez LIRE LA SUITE ci dessous pour lire la suite de l'article...^^
Articles de la même catégorie
Widget by Hoctro | Jack Book &callback;