Un responsable socialiste a déclaré récemment que son parti parlait une langue morte. Intéressant d'un point de vue storytelling.
Une réflexion : le problème n'est pas de parler une langue morte ou vivante, mais de raconter une histoire déconnectée de la réalité présente. En storytelling, une histoire empruntée à l'Antiquité
voire la mythologie est tout à fait acceptable si on la connecte au contexte actuel.