Dans son édito du 21 mai 2009, Denis Olivennes fait l’apologie de la lutte non violente en écrivant le panégyrique d'Aung San Suu Kyi :
"La dame de Rangoon"
La non-violence est
« l'expression supérieure de l'humanité ».
Cette femme est certainement admirable, cependant, après 20 ans de lutte non violente, « l'extrême brutalité du régime de Rangoon » s’est-elle modérée ne serait-ce que d’un iota ?
« Mais leur véritable défaite est que, en vingt ans de persécution, ils n'ont pas réussi à la faire renoncer à la non-violence. »
S’ils lisent ça, les « bourreaux » de Naypyidaw vont mourir de rire (et ce serait un bon débarras, avec un éloge funèbre prononcé par Bernard Kouchner, défraiements pris en charge par Total).
In fine, cet article n’est-il pas un plaidoyer pour la lutte armée et la guérilla ?