Tout d'abord, les ultimes présentations d'artistes avant d'entamer lesdits projets.
Premièrement celle de David Lachapelle, un photographe post-warholien assez fascinant, qui prendra la forme d'un article collaboratif (Zaza et moi). Suivront dans cet ordre celles de Franz Kline, Louise Bourgeois, Sarah Moon (il demeure possible que celle-ci ne se concrétise toutefois pas faute d'information), Gustav Klimt et, si j'y parviens, Egon Schiele.
Au milieu de ces articles ploperont (comme dans “plop art,” l'abomination culturelle à la mode du siècle passé) deux guides. Un qui, je l'espère, permettra à quiconque le souhaite d'aborder le jazz de manière naturelle et d'éclaircir ce genre que l'on tend à considérer comme austère et intellectuel ; puis un autre récapitulatif des courants et thèmes artistiques du Vingtième, axé vers la concision et la simplicité d'analyse par souci d'accessibilité.
S'il vous plait n'y voyez aucune prétention, je compte rédiger ces dossiers simplement par passion et n'en connais de toute façon pas assez pour pouvoir prétendre autrement. Ce qui m'emmène à vous parler de ce troisième projet, bien plus large, ambitieux et probablement instructif : le Times a il y a quelques mois mené un sondage via sa branche Entertainment Weekly, où il fut demandé aux lecteurs d'élire leurs artistes préférés des cent dernières années. Un million quatre cent mille votes furent enregistrés et cumulés dans une liste de deux-cents entrées où se côtoient Takashi Murakami, Damien Hirst et Paul Cézanne parce que l'art est un brainfuck formidable ; liste que je compte explorer et couvrir intégralement depuis le bas, ici-même, sur une période avoisinant l'an et demi.
D'ici le début des festivités (c'est à dire ce soir ou demain—au fait, j'ai obtenu un job !), faîtes vous plaisir :
Fingerprints is born again, yes it can. Amen.