Et pour arriver à cette réalisation, il a passé de nombreuses heures à faire des allers-retours entre la version internet et ce que pourrait être celle en papier. Les articles choisis sont considérés comme les plus intéressants, mais également les plus fiables du net, selon des critères de neutralité, de précision et d'exhaustivité.
Mais la plus grande difficulté fut l'absence d'outils qui permettent de gérer la création d'un livre à partir d'une si colossale base de données. À ce jour, la section anglais comporte 2,9 millions d'articles. Ce bénévole a donc choisi de réaliser sa version de Wikipédia, loin de celle éditée par Bertelsmann aujourd'hui.