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"Toc-toc la famine à ma porte toutes les fins de mois et moi et moi et moi.
Les maux comme ils viennent le loyer les factures la part de l'Etat et bientôt payer l'air qu'on aspir'ra.
Alors nous serons tous frères faméliques et en fin d'droits à moins qu'le soir on préfère jouer d'son corps au fond des bois.
Après on s'fera la guerre le coeur dur le ventre plat autant de vies le vent emporte autant de tripes on mangera chacun défendra la sienne qu'importe c'qu'il en restera à moi les pieds dans l'plat à toi mon poing dans l'estomac.
Merci banquiers bravo mafia d'nous transformer tous en cancrelas" -hélène-