Le 15 juin 2009
Objet :
« Parole d'Évangile ! »
Monsieur Patrice Gourrier
« Les Grandes Gueules »
RMC Info
12, rue d'Oradour sur Glane
75015 Paris
Fax : 01 71 19 11 90
Courriel :
[A l'attention d'Alain Weill, président du groupe NextRadioTV (RMC Info, BFM, BFMTV, La Tribune et Groupe Tests), de la Direction et de la rédaction de RMC Info (Jean-Jacques Bourdin et Guillaume Cahour en particulier), ainsi que des bien-pensants censeurs conformistes autoproclamés Grandes Gueules (André Daguin, Anna Sallabi, Bernard Debré, Claire O'Petit, Christian Lehmann, Gaston Kelman, Karim Zéribi, Jacques Maillot, Sophie de Menthon, Sylvain Grandserre, etc.)], qui colportent les mensonges et les « croyances au miracle » de la pensée superstitieuse « politiquement correcte » du jour dans tous ses modes d'expression, sans avoir pour autant le courage intellectuel de débattre sur le fond]
Monsieur,
Je vous remercie d'avoir fourni aussi clairement et nettement la preuve, au cours de l'émission du 1er juin, que les soi-disant « Grandes Gueules » de RMC Info disent tout et n'importe quoi, voire tout et son contraire.
Je tiens à votre disposition, en effet, les très nombreux exemples qui m'ont permis de dénoncer nommément tous ceux qui figurent en exergue de ce courrier, ne serait-ce que du seul fait de cautionner implicitement leurs mensonges et leurs « croyances au miracle » de toutes sortes, à l'exemple d'Alain Weill dont j'attends toujours la réponse à un envoi recommandé avec accusé de réception, attesté néanmoins par le récépissé postal.
Pour preuve de ce que j'avance, je me borne à mentionner les exemples significatifs de Jacques Maillot et de Gaston Kelman, en tant que porte-parole respectif de « tout et son contraire », et de « tout et n'importe quoi ».
Ainsi Jacques Maillot, pourtant brillant fondateur et dirigeant hors pair de Nouvelles Frontières, dont j'ai pu apprécier l'excellence des prestations, s'avère-t-il maintenant un piètre moralisateur public partisan, au point même de condamner moralement les Autres avant la Justice, comme ce fut le cas pour Bernard Laporte, en donnant ainsi force de droit à la « présomption de culpabilité. ».
Par ailleurs, il peut aussi bien parler, un jour, de « moraliser le capitalisme » pour déclarer plus tard le contraire, en affirmant avec la même conviction que le capitalisme est le meilleur des systèmes à l'exclusion de tous les autres, et prendre ainsi le contre-pied de sa position initiale sur la base d'un livre d'André Comte-Sponville pour admettre que le capitalisme n'est pas « moralisable », ce en quoi je lui donne entièrement raison - sauf à m'indiquer, précisément, comment « moraliser » tous les humains sans exception, banquiers et traders en particulier, autrement que par de belles paroles et des catéchismes, fut-ce le catéchisme contemporain soi-disant universel !
Un mot sur Gaston Kelman, dont la déclaration publique illustre à merveille la « débilité intellectuelle » de l'époque, puisqu'il a pu prétendre, au mépris de la raison la plus élémentaire, qu'une quelconque chose humaine pourrait comporter « exclusivement » du négatif, des inconvénients. Une telle affirmation mensongère publique aurait dû suffire à le disqualifier en le retirant de l'antenne, mais à ce compte-là, assurément, il ne resterait plus grand monde dans les médias de toutes sortes - notamment au micro des « Grandes Gueules » ! -, s'ils devaient cesser de colporter, à longueur d'antenne et de colonnes, les mensonges et les « croyances au miracle » du penser superstitieux humain dans ses divers modes d'expression [Religion, toutes religions confondues - monothéistes ou non -, métaphysique (matérialisme scientiste et idéalisme ou pseudo-philosophie spiritualiste), idéologie, toutes les idéologies sans exception, et moralisme, tous catéchismes réunis, fut-ce la Déclaration prétendument universelle de 1948]
Ainsi, sans même faire sourciller l'animateur de service, Gaston Kelman, ce soi-disant « vertueux » médiatiquement autoproclamé à grand renfort de livres, mais capable d'intervenir pour contester même lorsqu'il n'y est pas convié, dès que ses intérêts communautaristes égoïstes sont contrariés, a-t-il pu affirmer que « la période coloniale ne pouvait comporter que du « contre », du négatif, des inconvénients ». Et ce n'est pas parce que son propos a été récemment repris par Yazid Sabeg sur France Culture - un bon moyen, apparemment, d'accéder aux honneurs dans une « république des lâches » (cf. Rachid Kaci) - qu'il acquiert valeur de « Vérité ».
Mensonges et lâcheté iraient même plutôt de pair dans notre époque « intellectuellement débile », sauf à l'une ou à l'autre des soi-disant « élites » dénoncées dans le texte, Mensonges et lâcheté des élites, d'apporter la preuve du contraire - si elles en avaient été capables, je le saurais, depuis plus de dix ans, puisque même le quotidien Le Monde a jeté officiellement l'éponge, le 26 janvier 2004 !
Contrairement à Gaston Kelman, j'affirme avec force que, dans un monde où tout est relatif et rien n'est absolu, « TOUT » comporte à la fois du pour et du contre, du positif et du négatif, des avantages et des inconvénients, entre lesquels tranchent seulement les intérêts égoïstes, individuels et collectifs, des uns et des autres - sauf à l'intéressé, à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire, car je pense pour ma part l'avoir déjà suffisamment établi !
J'en viens à votre propos tenu en réaction au livre de Christian Laborde, Corrida, basta ! Je n'hésite pas à le dénoncer comme étant un mensonge et une « croyance au miracle ». Toutefois, comme je ne suis pas du genre à restreindre la liberté d'opinion et d'expression de quiconque, contrairement aux prétendues « Grandes Gueules » moralisatrices à sens unique, j'admets très volontiers que c'est votre droit le plus légitime d'être farouchement opposé à la corrida pour des raisons qui vous regardent, et de le dire publiquement même sur une station de radio. Néanmoins, compte-tenu de la relativité de notre penser humain, c'est aussi le droit pour d'autres d'en être partisans, en dehors des leçons de morale de tous les « censeurs autoproclamés » d'aujourd'hui, qui, en l'occurrence, se soucient davantage du sort des animaux que de celui de leurs frères humains, comme le prouvent leurs sempiternelles querelles et divisions entre eux.
QUI sont-ils donc, en réalité, tous ces donneurs de leçons pour faire la morale aux Autres ? QUI les a investis en Juge suprême, hormis les millions d'euros de patrons de presse, par exemple, pour dire publiquement ce qu'il est « absolument » bien ou mal de penser, de dire et de faire, aujourd'hui, dans un monde où pourtant TOUT est relatif ? En effet, sauf à vous-même de démontrer le contraire, il n'y a ni Bien ni Mal absolus sur Terre - c'est une imposture, une « escroquerie intellectuelle » planétaire, de le faire croire mensongèrement ! Il n'y a pas davantage les bons et les mauvais par nature, il n'y a que des individus égoïstes, tous sans aucune exception. Et qu'un prêtre catholique ignore la Parole du Christ dénonçant cette fable, voici bientôt deux mille ans, témoigne à la fois de la « malhonnêteté intellectuelle » et de la « débilité intellectuelle » de l'époque en général, et des « Grandes Gueules » en particulier !
Comme je me suis déjà amplement expliqué, auprès des uns et des autres, sur les fictions du moralisme [Morale et condamnations moralisatrices des Autres au nom de LA Morale] pour les dénoncer, je ne me sens pas tenu de reprendre ici l'intégralité de mes arguments, d'autant que tout ce courrier est encore à la disposition de tous. Par contre, la question, « QUI », posée ci-dessus vous concerne tout particulièrement en votre qualité de « juge des âmes » sur Terre, puisque celle-ci se fonde seulement sur le penser superstitieux. Toutefois, sans vous récuser ce droit dans votre église, puisque les pécheurs y sont consentants, je le réfute dans votre commune « moralisation publique à la cantonade » pour la raison ci-après.
Bien longtemps après l'un des grands diseurs universels de LA Vérité éternelle absolue, le Christ, j'affirme, en effet, que, pour donner des leçons de morale aux Autres, il faudrait commencer par être soi-même « irréprochable ». Or, il n'y a pas, et il n'y aura jamais, d'individus ni de groupes d'individus, « TOUS » critères d'appartenance confondus, réellement « IRRÉPROCHABLES » : face à l'Idéal, chacun est forcément coupable, coupable de crime de lèse-Idéal - sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire !
Ou bien faut-il vous rappeler ces prêtres pédophiles, voire ceux qui dissimulent à leurs paroissiens une liaison coupable - aux yeux de l'Eglise ! -, en s'autorisant néanmoins à juger moralement les faits et gestes intimes de leurs ouailles pour finalement les absoudre à bon compte ? Une manière, assurément, de contourner l'hypocrisie ambiante sans trancher dans le vif !
Sans entrer ici, toutefois, dans un débat de fond établissant, sur un plan philosophique, l'assise superstitieuse de la religion, de toutes les religions, ne serait-ce que pour cette hypocrisie affichée et admise, la religion atteste ainsi l'incohérence du penser superstitieux humain. Par ailleurs, le fait que vous soyez amené à donner publiquement des leçons de morale aux Autres témoigne bien de la « débilité intellectuelle » de l'époque - méconnaissant ce qui précède -, puisque vous n'êtes pas plus irréprochable que quiconque - autres « Grandes Gueules » et moi-même inclus, évidemment ! Alors, cessez donc, tous autant que vous êtes, de juger et de condamner moralement les Autres, et d'autant moins en raison de leurs opinions que vous n'avez même pas le courage intellectuel de débattre - pourtant, votre nom a bel et bien toujours figuré en exergue du courrier adressé à RMC Info !
Vos condamnations moralisatrices personnelles des Autres aggravent votre cas, car vous prouvez ainsi que vous n'avez rien compris à l'enseignement du Christ, lequel a cherché à aimer tous les humains, quelles que soient leurs fautes. Ainsi, dans son besoin d'amour universel, malgré des colères d'humain ordinaire, précisément, il se gardait bien de couvrir d'opprobre ses contemporains, et a fortiori de distinguer les bons et les mauvais en les triant, à l'exemple des « Grandes Gueules » - et de vous-même !
Loin de racheter les fautes de vos semblables, vous enfonceriez plutôt ceux qui ne pensent pas comme vous, puisque ce sont des « diables », mais sans jamais prendre la peine, évidemment, d'analyser, sur le fond, leurs points de vue contraires, car vous croyez détenir LA Vérité en matière de Bien et de Mal soi-disant absolus - encore faudrait-il le démontrer ! Jusqu'ici, en effet, votre réflexion commune de bienpensants ne dépasse pas le stade de l'imposture d'un Bien et d'un Mal prétendument « absolus », que vous ânonnez comme à la messe ou au catéchisme ! ! !
J'en termine, sur le plan philosophique, avec l'enseignement véritable du Christ. Lui, le mystique authentique, et non le fondateur d'une religion qu'il n'a pas voulu créer, ne tombait pas dans le dualisme superstitieux « créateur-création », ainsi que le confirme son mot fameux : « Moi et le Père et ne faisons qu'UN ». Le mystique authentique, tout comme le « vrai » philosophe, comprend, en effet, à la manière d'un Spinoza et d'un Brunner entre autre, le lien réel unifiant l'Absolu et le relatif (notre monde), à savoir une relation d'immanence et non de transcendance.
Je n'entends pas le démontrer ici - mais j'y suis tout disposé si nécessaire -, car mon but est seulement de réfuter votre propos à l'adresse de Christian Laborde : « On ne peut pas avoir raison seul contre tous ». SI ! Précisément le Christ, Socrate, Platon, Giordano Bruno, Spinoza et Brunner, entre autres, ont raison « seuls contre tous », sauf à leurs opposants de démontrer - et non pas seulement d'affirmer ! - la fausseté de leur parole de Vérité. C'est la démarche inverse des « Grandes Gueules » ; celles-ci n'ont raison finalement qu'aussi longtemps qu'elles refusent de débattre - et se contentent donc d'affirmer !
Outre votre dérive moralisatrice généralement partisane, sur fondement de Bien et Mal prétendument absolus, l'argument opposé à Christian Laborde pour annoncer la fin programmée de la corrida témoigne que vous tombez également dans la superstition idéologique. « Ça » fait beaucoup pour un seul homme d'avoir, à la fois, des: croyances superstitieuses, religieuse, moraliste et idéologique - force est d'en conclure que même la Superstition a une cohérence dans ses divers modes d'expression, puisque toutes se fondent, en effet, sur la seule « croyance au miracle » !
En l'occurrence, vous avez laissé entendre à Christian Laborde que l'Homme aurait suffisamment évolué, dans 2.000 ou 3.000 ans, pour renoncer de lui-même à la corrida, en raison de son changement de nature intervenu d'ici-là, ce qui a entraîné cette réflexion spontanée de l'animateur à l'adresse de l'auteur : « Vous avez le temps » - je dirais même l'éternité, si vous attendez cette chimère ! ! !
La boutade de l'animateur ne retire rien à votre propos superstitieux, celui de tous les marchands d'espoir, de ceux qui renvoient toujours à DEMAIN, et seulement à DEMAIN - à la saint Glinglin ! - l'avènement de leurs mirifiques et fallacieuses promesses d' « ordre juste », d'un autre monde - d'un monde idéal, en somme ! Faute de pouvoir vous prouver ma certitude contraire jusqu'à la fin des temps - forcément -, deux-cent vingt ans plus tard, la France témoigne, malgré sa plus grande révolution nationale, que les inégalités sont toujours là, voire en pire, et que la liberté d'expression, entre autre, se fait toujours attendre - en dépit du catéchisme universel censé établir liberté et égalité sur la Terre entière ! Par contre, je peux vous assurer qu'aucun des humains d'aujourd'hui ne verra l'arrivée du paradis sur Terre, comme les ex-soviétiques pourraient aussi en témoigner après la grande révolution d'octobre 1917, voire les Cubains depuis 1959 !
Pour votre gouverne de bienpensant, je souligne avec force que l'avènement d'un monde parfait avec des humains imparfaits est une promesse sans lendemain, sauf à vous-même ou à quiconque, comme j'en ai lancé le défi depuis longtemps, de m'indiquer concrètement comment éradiquer, définitivement et universellement, les maux sempiternels de l'humanité, que je ne détaille pas ici, et comment instaurer, de manière tout aussi définitive et universelle : liberté, égalité et fraternité, entre autre - c'est pourquoi nous reparlerons seulement d'égalité, lorsque les riches auront partagé leurs richesses avec les pauvres !
D'ici-là, notre nature humaine égoïste, à laquelle personne n'échappe - ni vous ni moi, et pas davantage les six milliards et quelques humains d'aujourd'hui (hypocrites inclus) -, empêche à jamais l'avènement de ce monde idéal utopique. Notre égoïsme inné, pour autant qu'il puisse être quelque peu spirituellement modifié, ne disparaîtra jamais totalement, y compris chez les plus sages. Il n'est, en effet, que l'expression de notre désir premier de vivre le plus longtemps et le mieux possible, en se gratifiant autant que faire se peut dans nos affaires d'amour, d'argent et de gloire ou honneur-vanité, comme suffit à l'attester votre participation à l'émission incriminée, où vous contribuez à colporter les mensonges et les « croyances au miracle » du monde - par souci de LA Vérité, ou par intérêt bien compris ? !
Pour résumer ma pensée, il n'y a pas de différence de nature, entre les humains, il n'y a que des différences de degré, selon les circonstances et l'intensité de nos aspirations égoïstes - quitte à agir de façon diamétralement opposée, au gré des opportunités, précisément !
Néanmoins, si vous persistez à « croire » que notre nature égoïste innée peut être changée dans son fondement, il faudra le démontrer. J'attends donc, avec beaucoup de curiosité, vos propositions concrètes devant permettre de changer notre nature égoïste, pour faire de l'Homme tel qu'il est, l'Homme tel qu'il devrait être pour parvenir à transformer ses rêves d'aujourd'hui en réalité de demain. Comme l'humanité l'attend depuis des millénaires, j'affirme, comme déjà écrit bien souvent à nombre de marchands de rêve, et autres vendeurs d'illusion, figurant dans le texte annexé :
« Rien n'est en mesure de faire de l'Homme, tel qu'il est, l'Homme tel qu'il devrait être, pour parvenir à la société chimérique de ses rêves : aucune idéologie, aucun moralisme, aucune pédagogie, aucune révolution, aucune Église, aucun devoir de mémoire (Shoah comprise), aucun homme providentiel, aucun Messie nouveau, aucun type d'organisation sociale (sinon pourquoi attendre ?), aucune Culture même mondialisée, ni l'addition de lois à des lois, de textes internationaux à des textes internationaux, pas plus que la réforme de l'ONU ou de l'OMC, une Europe fédérale ou non, voire toute autre solution farfelue (pharmacopée, par exemple), ne feront du rêve d'aujourd'hui la réalité de demain. LA Culture, sous toutes ses formes, est à jamais impuissante contre notre nature égoïste ; sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, d'établir le contraire par vos propositions concrètes, mais d'ici-là vous aurez beaucoup menti à vos contemporains - mais, il est vrai que même les gens d'église n'échappent pas à leur égoïsme inné !
Je ne voudrais pas terminer sans profiter de l'occasion pour revenir sur vos propos tenus contre l'évêque révisionniste Richard Williamson, et sans évoquer ce morceau d'anthologie de superstition religieuse concernant l'exorcisme et une récente décision de Benoît XVI sur les exorcistes.
Sur le premier point, vous avez témoigné, une fois de plus, de ce que sous-entend réellement votre soi-disant amour des humains, puisque vous avez même été jusqu'à dire de Monseigneur Williamson que « vous ne deviez pas avoir le même Dieu » - et pourquoi pas aussi le même pape, après votre crique de Benoît XVI sur l'usage et l'utilité du préservatif ? !
Quant au morceau d'anthologie sur l'exorcisme, plutôt que des longs discours, je préfère vous faire parvenir la retranscription intégrale de l'émission des « Grandes Gueules » sur ce sujet, dont je retiens juste votre propos « Je crois en Dieu, donc je crois au diable » - en France, en l'an de grâce 2008, où l'on se croit au comble du modernisme des idées ! ! !
Au vu de ce courrier et des documents annexés, qui seront transmis par courriel en raison de leur longueur, il vous reste à soulever vos éventuelles objections, intellectuellement et philosophiquement étayées, à défaut de quoi vous manifesteriez votre intention délibérée de continuer à colporter les mensonges et les « croyances au miracle » du monde, donc de manipuler et tromper l'opinion.
Je vous remercie de votre attention et vous prie d'agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.
Annexe : I - Mensonges et lâcheté des élites
II - Obscurantisme : Benoît XVI, le diable et l'exorcisme, en l'an 2008