Je suis très attaché au bien public et comprends mal qu'il puisse être malmené et surtout confisqué.
Il existe à Fontenay un jardin japonais, public. Un jardin paysager zen. Ce type de jardin est rare en France et celui-ci mérite toute notre attention. Déjà je m'étais ému du fait qu'il était
régulièrement fermé en contradiction avec l'affichage public de ses horaires et de sa réglementation! Aujourd'hui il est ouvert. C'est une amélioration! Mais il faut constater un mur
mitoyen à une propriété voisine a été abattu avec pour conséquence immédiate pour l'occupant d'accéder en permanence à ce jardin et d'avoir pu réaliser une magnifique baie vitrée avec vue sur le
jardin, la mare aux nénuphards,... Pour le promeneur que je suis je me sens en effraction dans une propriété avec peur de géner l'occupant de cette demeure car cette ouverture
vitrée m'autorise à entrer dans son intimité! Je suis comme un voleur - dérobeur d'espace, violeur d'intimité, voyeur...
Plusieurs questions se posent: comment a été accordée l'autorisation de destruction de ce mur mitoyen? L'occupant à temps partiel de ce jardin public l'entretien t-il? Quelle plus-value sur le
bien mmobilier cet état d efait apporte-t-il? Et vertu de quel crédit a t-il été accordé cette dérogation? car cela n'a pas pu être le fait d'un hasard! Le voisin a t-il la charge du gardiennage
de ce lieu ce qui effectiveemnt ourrait lui donne rle loisir d'en profiteraux heures de fermeture. J'imagine volontiers les belles soirées de printemps et d'été avec des amis, les dîners
conviviaux, l'espace pour les enfants et surtout le calme pour le repos, la lecture, la détente. C'est tout ZEN
Pour preuve je vous livre les photos qui démontrent bien que l'espace public s'est transformé en toute quiétude et surtout impunité par quelques modifications en un bel espace privé! Je vais
demander au groupe socialiste de prendre en charge cette question et je pense que mon ami M. Carré, Maire adjoint, apportera son entier soutien à cette initiative qui combat une notion
viciée du Vivre ensemble que nous voulons partager! Ce jardin est à nous, il est à la ville, il est citoyen! Soit le mur mitoyen est reconstruit, soit la bair vitrée se tranforme en une baie aux
verres teintés - nous offrant une opacité interdisant pénétrer visuelement dans la maison et surtout une baie close. Une baie fermée sans possibilité d'accès au jardin!