Manuel Valls a toujours quelque chose à dire. Une de ce nombreuses choses qu'il a empruntées au sarkozysme, l'Unité de bruit Médiatique, la pseudo maitrise de l'agenda, par le biais de la com sur le vide.
Le problême, c'est que supporter du Valls à plein temps, ça n'a vraiment rien de charmant.
Quand il ne rêve pas de voir plus de blancs (uniquement peut etre ?) dans sa ville, Manu se voit chef des socialistes, Socialistes dont le nom ne lui revient guère mais qui, une fois ripolinés version karsher seraient assez bien pour lui permettre d'assoir son ambition.
Ambition qu'il semble avoir montée sur talonettes, Le projet de Valls, c'est Valls et il peut y croire, lui dont Sarkozy prétend qu'il sera le meilleur des socialistes, si les éléphants ou les jeunes loups ne le tuent pas.
Moscovici aussi rêve d'être chef pendant qu'il se rase ; le problême c'est que personne ne semble rêver de Moscovici ou de Valls, les français, savez, ces gens dont vous devrez peut être solliciter le suffrrage, étant plus enclins à une union des gauches qu'à une nouvelle lutte des égos.
Ceci dit, tout ce cirque est dérisoire au vu de la situation en Iran ou des tensions (le mot est trop léger) avec la Corée du Nord.
Allez plutôt lire Naufrage de Stevenson, publié par les éditions Filaplomb, évasion garantie