Souffler de la braise

Publié le 14 juin 2009 par Dateurenserie

Marc Boilard appelle ça souffler de la braise. Je trouve que c’est tout à fait approprié. Je vous fais le topo rapidement.

Vous ne vous souvenez pas d’un de mes premiers textes. La fille qui avait constamment des rencontres et me le disait ouvertement. Pas très attirant. Nous nous étions perdus de vue. Il y a deux semaines environ, je n’avais rien à faire alors j’ai décidé de repasser en revue mes messages privés sur Facebook. Quelle activité palpitante, vous en conviendrez tous. Et je suis tombé sur un ancien message d’elle. Mary, tient, pour les besoins de la cause. Je lui envois un petit bonjour comme ça et elle me répond avec une bonne humeur certain. Tsé quand il y a un sourire dans le message.

Et elle est toujours célibataire. Le point important. Bla bla sur MSN un peu et hop, mardi dernier elle me lance:

- Jeudi, je dois souper avec mon amie de fille mais elle ne ma toujours pas donné de nouvelles… ça t’adonnerait?
-Ouais!
- D’ac je te tiens au courant!

Et jeudi, toujours pas de nouvelles de son amie, alors on se rencontre! Toujours en métro, j’y ai repris goût on dirait! Elle m’attendait dans la station IPod sur les oreilles. Et wow. Grande, brune, des yeux magnifiques. Quand je suis arrivé face à elle, ça paraissait que j’étais gêné. Le Dateur gêné. Allez savoir. Mais devant tant de beauté, je bafouille et je n’arrive pas a regarder l’autre dans les yeux. Et je lance toutes sortes de niaiseries incompréhensibles.

Direction terrasse du Vieux. Ouin, pas originale le gars, je suis toujours rendu là mais ça, les filles ne le savent pas… alors chut! Ne leur dites pas! Nous avons pris un demi-litre de vin. Nous sommes raisonnables. En plus d’être belle nous avons des super discussions sur plusieurs sujets d’actualité. J’adore les filles instruites. Nous avons été honnête sur ce que l’ont cherche. Oui oui, une relation stable. Cette fille, je ne l’imagine aucunement autrement.

Soir de semaine oblige, nous avons du quitter tôt. Nous avons échangés 2 baisers sur les joues en se quittant à la hâte, moi qui devais débarquer avant elle du wagon de métro.

En nous promettant de nous revoir bientôt. Je l’espère!

D.