Du beau monde est mobilisé pour l’occasion car aux côtés de Ségolène Royal et Philippe Aghion (Université de Harvard), on retrouvera Yann Algan, professeur à Sciences Po, spécialiste des inégalités et de l’emploi mais aussi un économiste qui travaille autour de l’idée de « confiance ». Ce titulaire du prix du jeune économiste 2009, retrouvera deux de ses pairs. Jean-Paul Fitoussi, président de l’OFCE, prof à l’IEP de Paris et membre de la commission Stiglitz mais aussi Jacques Attali dont l’activité à géométrie variable est aussi difficile à saisir que le positionnement politique. Si sur ce blog, j’avais invité les uns et les autres à lire son intéressant « La crise et après ? » (Fayard), rappelons-nous aussi cet espèce de « Désir de Sarko » qui l’avait animé lors de la mise en place de la commission pour le retour à la croissance dont seuls les chauffeurs de taxi gardent encore le souvenir.
Enfin, et c’est probablement un aspect fort de cette Université, en invitant Edouard Martin, délégué CFDT d’Arcelor-Mittal, Ségolène Royal démontre qu’elle souhaite rester fortement connectée aux effets d’une crise qui a pris de dramatiques tournures à Gandrange comme ailleurs.
Puisque nous en sommes aux rendez-vous qui entendent faire du débat et des échanges participatifs la meilleure façon de s’armer pour demain, je veux signaler, cette fois-ci à la fin juin, à l’invitation de la…