Les énervés de la crise, qui se crispent dès qu’un revenu d’employeur explose le sens commun, ne remuent pas le poil d’une oreille à la
Ce qui navre, c’est l’apathie des errants du Pôle face à la goinfrerie du joueur et leur hargne vindicative dès qu’il s’agit d’un dirigeant moins sexy dans ses entournures, juste chargé de faire réussir une entité économique qui assure l’existence d’une foule d’âmes
Les tragiques et les comiques se retrouvent pour catapulter nos plates trajectoires vers d’hérissés horizons. Comme une guerre sourde, fantasmée, qui n’attend que le prétexte pour révéler ses actants déchaînés.
Rappelle-toi tes parents dans la casbah, tes grands-parents, comme les arrières, à l’arme lourde ou à la baïonnette incisive… tu veux quoi de plus ? Une fragile époque de paix qui ne survit que par un minimum social de prospérité.