Aujourd'hui, j'entame mon dernier vendredi à l'hôpital, mais cela ne m'empêche pas d'être super stressée.
Depuis que j'ai prévenu la boite de mon départ, ma supérieur est juste simplement infecte avec moi, alors qu'avant nos rapports étaient super bons, on s'étaient même fait des cadeaux pour Noël...
Par exemple, mardi matin, 9h30, elle m'appelle pour me dire "Pauline tu as mal fermé la fenêtre de la réserve hier", j'ai juste envie de lui dire "Oui, et alors? On s'en fout royalement non? C'est grave? Non. Ça t'empêche de bosser correctement aujourd'hui? Non.".
Ces sont des petites choses, mais depuis l'annonce de mon départ c'est tous les jours que les petites réflexions sans intérêt fusent.
Je devrais m'en foutre parce que lundi je me casse définitivement, mais non, je peux pas. Je prends tout pour moi, alors qu'elle me fait juste payer de partir.
Et pourtant j'ai pas fait ma conne, je l'ai prévenu de mes jours d'essais dans l'autre boite, je l'ai prévenu que j'étais prise avant que mon contrat soit signé pour qu'elle puisse trouver une autre fille pour me remplacer, et ne pas la mettre dans la merde avant mon départ... Si j'avais su...
Bref, il me reste aujourd'hui, dimanche et lundi Après c'est fini, je vais enfin me sentir libre! Parce que là, je peux plus.
Je suis arrivée à un point de non retour vis à vis de ce boulot.
Peut-être parce que je sais que je pars et que mon nouveau boulot est tout simplement cool, je ne sais pas, mais là je peux plus passer ma journée enfermée dans ma petite cafet' à servir des cafés aux gens malades.
Souhaitez moi bon courage pour ce dernier vendredi.
Milles bisous à vous.
Collier acheté dans la boutique d'une copine.
Débardeur Bershka.
Gilet Pimkie.
Boyfriend jean Friperie.
Spartiates Ebay Fr.