Ce qui me permet de jouer au prédicateur avec d'autant plus de crédibilité qu'en effet, on va tous mourir. Un jour ou l'autre, c'est certain. Si fait.
D'ailleurs, si on doit succomber dans une apocalypse avec déluge de feu et de cendre, je préférerais autant avoir fait le gueuleton de ma vie, dans le Périgord. L'art sournois de la transition...
Car notre chronique du jour vous emmène dans le Périgord, justement alors qu'une atmosphère de fin du monde s'instaure... Le Feu de Dieu, de Pierre Bordage, c'est à découvrir tout de suite.