L'accord d'exclusivité débutera cette semaine, et pour Lonely Planet, l'affaire est sérieuse. « Nous nous concentrons sur la manière de communiquer avec les voyageurs et de leur faire savoir. Nous nous adressons à eux via Facebook ou Twitter et faisons notre possible pour les tenir informés », explique Tom Hall, éditeur.
Et de déplorer le manque de choix évident qui en découlera pour les consommateurs, autant que les pertes occasionnées pour leur maison. Car ne trouver que les guides de Penguin dans les aéroports équivaut à offrir un monopole fameux à l'éditeur. Chose que la Travel Writers' Guild n'a pas manqué de remarquer. Sa présidente, Melissa Shales, a lancé la semaine passée un appel au boycott des produits de Penguin et des boutiques WH Smith.