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Québécois don't want sovereignty- Les Québécois ne veulent pas la souveraineté

Publié le 11 juin 2009 par Allpeopleunite
The Québécois population has spoken on sovereignty. They don't want it. They do however want more autonomy for Québec in areas such as economy, taxes, culture, agriculture and immigration. Angus-Reid-La Presse conducted a survey of nearly 1 000 Québécois(es) and found that:
74% of Québécois judge the chances of independence as reasonably, or completely unlikely
15% think that Québec has a good enough chance of separating
5% believe that Québec will separate
This is not exactly a surprise for anyone in Québec, and it only reveals that the semi-autonomiste proposals of the PQ are well-placed for support among Québécois. 63% of the respondents believe that Québec should remain within Canada, although many support more powers for the Québécois state. Only 28% believe that Québec should be independent, down from a high of 40% a month ago (if one is not mistaken).
This shows how the dominance of the Parti Québécois in souverainiste politics has completely watered-down the independent movement and its very spirit. The electorate are less ready than ever for sovereignty, they recognise that they are better off within Canada. And that is the truth, that only with the help and collaboration of their Anglo neighbors can the Québécois shed the oppression which plagues them.
Meanwhile the Liberals have accused the Parti Québécois of trying to provoke a political crisis and there have been warnings that the PQ's plan would necessitate a rehashing of the constitutional debate. Marois doesn't admit to wanting a crisis, however that would be the inevitable conclusion of this excecise, and at that point the PQ could argue that Ottawa is now oppressing them as they always have and that it is time for sovreignty. What they really mean is: we want a larger role for the Québécois bourgeois state and corporations in the country. The PQ chefs most likely in fact don't want sovreignty, it is far more feasible politically to try to find a reasonable accommodation within the confederation, which is exactly what they are doing.
La population québécoise a parlé sur la souveraineté. Ils ne la veulent pas. Or, ils soutiennent plus d'autonomie pour le Québec dans les compétences telles que l'économie, l'agriculture, la culture, et l'immigration. Angus-Reid-La Presse a fait un sondage qui a révélé que:
74 percent des Québécois jugent l'indépendance relativement, ou complètement, irréaliste
15 percent croient que le Québec a une bonne occasion de se séparer
5 percent pensent que le Québec se séparera du Canada.
Cela n'est pas exactement étonnant pour ceux qui habitent sur la territoire québécoise, et il révèle que le projet semi-autonomistes du PQ sont bén-placé pour soutien parmi les Québécois. 63 percent des répondants croient que le Québec doit rester au sein du Canada, or, beaucoup appuient plus de pouvoirs pour l'état québécois. Seul 28 per cent croient que le Québec doit être indépendant, une chute de le hauteur de 40 per cent.
Ceci démontre comment la dominance du Parti Québécois dans la politique souverainiste a complètement détruit le mouvement indépendantiste et son propre esprit. L'électorat est moins prêt que jamais pour la souveraineté, ils reconnaissent qu'ils sont meilleurs au sein du Canada. Et cela est la vérité, que seulement avec l'aide de leurs voisins Anglophones que nous pouvons rompre avec l'oppression qui nous souffrent.
Cependant les libéraux ont accusé le PQ d'essayer à provoquer une crise politique et il y avait des menaces que le plan péquiste nécessiterait un rechauffage du débat constitutionnel. Marois n'admet pas vouloir une crise, or c'est la conclusion inévitable de cet excercise, et le PQ pointerait vers l'oppression d'Ottawa du peuple québécois qu'existait toujours, et arguerait que c'est le temps pour la souveraineté. Qu'est-ce que ça veut dire vraiment: les dirigeants du PQ veulent un plus grand rôle pour la bourgeoisie et politiciens natives québécois au sein de la confédération, ils désirent un accommodement raisonnable parmi les autres provinces du Canada.

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