Une situation qui révolte la porte-parole de la bibliothèque, Rebecca Smith : les vols ont débuté vers le 28 mai, lorsque deux livres d'une valeur de 3700 $ ont été endommagés. On a tout bonnement découpé certaines pages contenant des illustrations uniques.
Selon les rapports de police, quatre autres ouvrages ont subi les mêmes outrages, avec de nouveau une perte de 1350 $. Les pages sont tranchées et les couvertures furent retrouvées dans les toilettes des femmes ou sur un banc du quatrième étage de l'établissement.
Pourtant, la plupart des livres de valeur dont dispose l'université sont stockés dans une annexe où le public n'y a pas accès aussi facilement. Un équilibre délicat à trouver entre assurer la sécurité des ouvrages et leur préservation, contrebalancées par la mise à disposition du public des collections.
Récemment, l'université a déplacé 800.000 livres dans un espace interdit au public et désormais, on se demande s'il ne faudra pas engager un vigile pour en assurer la surveillance...