Magazine Poésie
Maman, ces fleurs à l'aube de ta belle jeunesse
Youth, tu le fus aux temps de moindre faiblesse.
Oh, tu resteras dans mon coeur, une petite fleur,
Selon tes humeurs, et loin de tes grandes rancoeurs
Oraisons de quelques bonheurs très lointains
Témoins à l'aube de ma vie à plusieurs refrains
Ires quelquefois, elles débordent dans tes élans
Soudain, tu te calmes à l'orée de ta sérénité.
Véronique Dubois